Critiques

Caer Dallben est en émoi : le Prince Gwydion part en quête du Chaudron Noir. Ce chaudron maléfique sert à fabriquer des soldats du mal. Il est officiellement aux mains du roi Arawn. Taran, l’aide-porcher, Fflewddur, le barde menteur, la princesse Eylonwy et Gurgi, l’homme des bois, décident de participer à l’expédition. Face à des princes très supérieurs, aux trahisons, aux aides, aux amitiés, la troupe chemine vers les marais de Morva où le chaudron est aux mains de 3 sorcières.

La ville de Cintra a été sauvagement attaquée par l’empire de Nilfgaard. Au milieu des maisons en feu et des habitants massacrés, Ciri, héritière de la reine assassinée, parvient à s’enfuir. La petite fille erre quelques semaines avant d’être recueillie par Geralt de Riv, un chasseur de monstres. Celui-ci décide de cacher l’enfant et de la préparer à son avenir. Ciri débute alors un difficile apprentissage, fait d’entraînements à l’épée et de coups douloureux.

Malgré les années, la paix n’est pas encore revenue à l’école de Magie de la Tour. Fenris est partie, comme Conrad, Morderek, Salamandre et Navin. Saevin et Iris sont les plus jeunes élèves et Kai est toujours un dragon. Mais un jour fatidique approche, celui où la frontière entre le monde des vivants et des morts sera si mince, si fragile que d’un sortilège, tout sera possible : l’immortalité pour certains comme le retour des âmes mauvaises et des âmes bonnes parmi les vivants.

Sur la planète Trahison, sont exilées différentes nations issues des traitres de la république. Lanik Mueller fait partie de l’une de ces nations, celles où la plus grande crainte de ces hommes est de devenir régénérant radical. Ils sont capables de régénérer un membre coupé mais certains ne peuvent empêcher que des membres surnuméraires poussent et repoussent encore.

Au nom de tous les miens La vie, l’amour, la mort

Erwan, le fils de Titiana, est gravement malade. Par une nuit de fièvre, la mort frappe à la porte et emporte l’enfant. Fatiguée, Titiana s’évanouit. A son réveil, elle réalise. Elle surgit hors de chez elle et traverse la lande, jusqu’à la demeure de Dame La Mort. Mais il est trop tard, l’âme d’Erwan repose déjà dans une jeune pousse d’arbre comme le veut la légende. Dame la Mort consent à abandonner la pousse à Titiana qui finit gelée dans la lande. Pendant ce temps, le village reçoit la visite des teribles Vikings.

A la fin de la critique que je faisais paraître en novembre dernier sur le premier numéro de la collection « Ukronie » des Editions Flammarion (le roman Ceux qui sauront de Pierre Bordage), j’annonçais la parution prochaine d’une anthologie de nouvelles uchroniques due aux plus récents et prestigieux écrivains français d’anticipation. La voici. Et elle comble idéalement notre attente.

A Esperantia, le jeu a remplacé la guerre. Bientôt 80 ans que les derniers conflits ont éclaté et que le sang a coulé. Au milieu du fleuve trône La Pacifique, une statue, ôde à la paix retrouvée. Un jour, un homme arrive à Esperentia. Il lance un nouveau jeu sur le marché, La Seconde Guerre Mondiale. Le monde d’Esperantia n’a jamais connu de première guerre mondiale. Du coup, le jeu intrigue, fascine et des années après, des millions d’habitants se lancent dans de folles parties de Seconde Guerre Mondiale.

Rêves de jeunesse La prédiction En 1969 le jeune Kenji, qui rêve de devenir une rock star, passe ses vacances d’été avec sa bande de copains. Tous ensemble, ils inventent une histoire dans laquelle ils jouent aux preux chevaliers sauvant le monde des méfaits d’une organisation malfaisante qui tente de prendre le contrôle de l’Humanité au moyen d’un virus et d’un robot géant. Ils consignent leur scénario catastrophe dans ce qu’ils appellent le “cahier de prédictions” avant de l’enterrer en jurant de rester les meilleurs amis du monde.