
Visiblement retrouvé par les ayants-droits dans les invendus et inachevés de Philip K. Dick, ce texte aurait demandé un important travail d’édition et de correction pour éliminer les défauts et les redondances. Il comprend apparemment les plus graves défauts de l’écriture de Dick, à savoir les études pseudo-psychologiques des personnages, de surcroit profondément incohérents, et les redondances des commentaires, et ne semble pas comporter ce qui sauve les meilleurs romans, une idée surprenante et la réflexion sur la réalité.

Bearfoot, Santee et Ray ont 16, 10 et 6 ans. Elles vivent dans la réserve indienne de Pine Ridge, dans le Dakota du Sud. Leur vie bascule quand leur mère écope d’un an de prison pour conduite en état d’ivresse. En apprenant qu’elles vont être séparées et placées dans des familles, Bearfoot s’enfuit avec ses sœurs dans un vieux break, sans permis et presque sans argent.

Les « romans arthuriens » sont, depuis le siècle dernier, l’objet de reprises, de réflexions et parfois de réécritures multiples et si la plupart de ces réécritures ont essayé de se conformer aux « canons » établis au Moyen-âge, entre Geoffroy de Monmouth, Thomas Mallory et Chrétien de Troyes, en gros respectés par T. E.
