Soumis par Céline S. le dim, 04/07/2021 - 06:00
Suivie par des millions de personnes, poursuivie par une seule.
Soumis par Michael Fenris le ven, 02/07/2021 - 06:00
Il s’appelle Ludwig Eisenberg, il est surnommé Lale, et il a été le tatoueur d’Auschwitz-Birkenau, celui qui marquait les numéros des hommes et des femmes déportés dans le camp de concentration. Il a ainsi tatoué des centaines, peut-être des milliers de personnes, surtout des Juifs. Dans ce camp de la mort, il rencontre une jeune femme, Gita, dont il tombe amoureux, et il se fait la promesse qu’un jour ils finiront par s’en sortir, par se marier et vivre heureux.
Soumis par Georges Bormand le jeu, 01/07/2021 - 06:00
Ce serait plutôt Images de la fin D’UN monde, puisque ces Chroniques de Mertvecgorod nous décrivent un certain nombre de moments de la vie d’une « République » post-soviétique imaginaire et (espérons-le, bien que certains exemples réels semblent aller encore plus loin dans l’horreur) caricaturale. Avec le premier récit du livre qui, presque le dernier pour la chronologie imaginaire, annonce une catastrophe effarante, mais peut-être pas définitive.
Soumis par Chris de Savoie le mer, 30/06/2021 - 06:00
Un roman noir, brûlant, et parfaitement réussi.
Soumis par Georges Bormand le mar, 29/06/2021 - 06:00
Si j’avais encore besoin d’une preuve que la fantasy est une branche de la littérature mainstream, ce roman picaresque, plus proche de Walter Scott ou d’Alexandre Dumas que de Tolkien, de Dunsany ou du Howard de Conan, avec une part de critique de la société britannique du dix-huitième siècle à la manière de Jane Austen, et du camouflage d’un pays imaginaire digne du Prisonnier de Zenda, toutes œuvres « reconnues » comme « littéraires », me confirmerait dans ma perception du gouffre entre le bloc « littéraire » mainstream-fantasy et le bloc spéculatif SF-fantastique.
Soumis par Céline S. le lun, 28/06/2021 - 06:00
Janvier 1947. Londres est en ruine, il n’y a rien à manger, et c’est l’hiver le plus froid qu’on ait connu de mémoire d’homme. Pour ne rien arranger, Charlie Grice, immense acteur de théâtre, vient de mourir brutalement, en pleines représentations de La Nuit des rois. Accablée de chagrin, sa veuve, Joan, chef costumière du théâtre Beaumont, tombe passionnément amoureuse de sa doublure dans la pièce, persuadée que ce nouveau Malvolio abrite l’âme de son époux. Jusqu’au soir où elle découvre le terrifiant secret de Gricey.
Soumis par Georges Bormand le dim, 27/06/2021 - 06:00
Commencer une série par le deuxième volume est toujours problématique, surtout quand on ne sait pas quelles données sur l’univers ont été apportées dans le premier volume et lesquelles, éventuellement, seront nouvelles. Dans Céletopol, paru en 2017 aux Éditions de l’Instant, était donc présentée cette uchronie-roman steampunk qui suppose que, au début du vingtième siècle, existe sur la Lune une colonie russe dirigée par le duc Nicolai, au nom de l’Impératrice.
Soumis par Michael Fenris le sam, 26/06/2021 - 06:00
Dans la république imaginaire de Galaad, quelque part entre les Etats-Unis et le Canada, le régime politique totalitaire mis en place a relégué les femmes au rang d’utilité. Tous leurs droits leur ont été retirés. Elles sont utilisées à des tâches subalternes. Et celles qui sont encore jeunes et fertiles rabaissées au rang de mères porteuses, esclaves d’une obligation sexuelle qui leur impose des rapports avec un maître sous l’oeil vigilant de la femme de celui-ci, jusqu’à réussir à concevoir un enfant. Ces femmes ne doivent communiquer avec personne.
Soumis par Chris de Savoie le ven, 25/06/2021 - 06:00
Une Terre désolée où survivent ceux qui n’ont pas pu partir. Mais deux adolescents sont bien décidés à changer de vie. Un roman aux personnages attachants.
Soumis par Georges Bormand le jeu, 24/06/2021 - 06:00
Gareth L. Powell est-il une IA et le roman est-il construit suivant les règles de construction induites de l’analyse des thèmes et modes de rédaction à succès dans le space-opéra actuel ? J’en suis à me le demander tellement ce roman comporte de caractères « standards », que ce soit dans le cadre du récit (univers qui sort de la guerre et encore fortement militarisé, héros qui ont fait la guerre et en ressortent avec des idées pacifistes mais des compétences guerrières, personnages multiples auxquels le roman donne alternativement la parole...).
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