Critiques

1633. Le cardinal Richelieu a une mission délicate. Il n’a qu’une seule solution : ressusciter les « lames du cardinal », une unité d’élite des Mousquetaires, dissoute après la fin épouvantable d’une bataille qui connut trahison et forfaiture.

Dans un futur proche, les Etats-Unis ont été dévastés par une apocalypse dont on ne sait rien. Dans cet univers comme suspendu, un père et son fils (on ne sait d’eux ni le nom ni le prénom) marchent le long d’une route et tentent de survivre. Leurs journées monotones sont ponctuées par la recherche de nourriture et d’abris pour la nuit dans un pays tombé dans la sauvagerie.

Lady Vengeance Kill Bishop Sadie Blake est une jeune journaliste ambitieuse qui travaille au L.A. Weekly et ne ménage pas sa peine pour tenter de dénicher le scoop qui boosterait sa carrière. Depuis quelques temps, elle mène sa propre enquête sur une série de meurtres commis par les membres d’une sorte de secte qui abandonnent les corps exsangues de leurs victimes dans les sombres ruelles des quartiers mal famés. Après avoir reçu un tuyau d’un de ses informateurs, Sadie se rend un soir dans une maison isolée où est censée se dérouler une fête très particulière.

De passage dans les montagnes, Thomas Landon et sa femme stoppent net leur voiture afin de ne pas écraser un sdf, étendu au beau milieu de la route. Ils le soignent – Agnès Landon est médecin – , l’hébergent dans leur chalet, mais au petit matin, l’homme a déjà disparu.

Deux plans m’ont particulièrement marqué dans cette nouvelle aventure d’un archéologue que l’on n’attendait plus. Deux plans miroirs, qui enserrent littéralement les deux heures de film, tel un étrange constat d’impuissance de la part des créateurs de cet opus aux réussites diverses. Si vous n’avez pas encore vu cet Indy 4, n’allez pas plus loin. Parce que la description d’un de ces plans renvoie directement à l’intrigue et à sa résolution lors d’un final sur lequel je reviendrai dans quelques lignes.

Vu par Freddy Quand j’ai eu ce bouquin dans les mains, je l’ai d’abord tourné et retourné en me disant : « Dans quel pétrin tu vas t’enliser Freddy ! ». L’épaisseur du livre, sa photo de couverture et son titre ne me disaient rien qui vaille. Le synopsis sur le dos, je l’ai parcouru en me disant que j’allais devoir me farcir cinq cents pages d’études scientifiques. Des tronches bardées de diplômes allaient m’en mettre plein la vue avec des équations, des termes et des colloques dont seuls eux sont équipés pour comprendre.

Quel lien existe-t-il entre un jeune soldat allemand assassiné par les SS et Pierre Beaumont ? A-t-il quelque chose à voir avec le spectre de Beauregard ? Et quel est ce criminel qui s’est évadé de prison ? Pourquoi la police reste-t-elle impuissante ? Serait-elle corrompue ? Toujours plus de questions, mais pas tellement de réponses. Si le titre entend des révélations à venir, attendez-vous surtout à voir débarquer de nouvelles têtes, ainsi qu’à mieux entrevoir leurs intentions. Pour le reste, pas de grande révélation à vous trouver le cul par terre. Et franchement : tant mieux !

C’est l’histoire d’un narrateur pris dans une histoire qui le dépasse totalement, et qui essaie néanmoins de tenir son rôle. Parce que les chronolithes sont des violations de la causalité, qui se manifestent comme des monuments indestructibles, envoyés d’un avenir assez proche (20 ans et 3 mois représentent une limite), notre narrateur, informaticien au chômage qui survit avec sa femme et sa fille en Thaïlande, ayant assisté à l’apparition du premier chronolithe, va être mêlé à la lutte contre leur créateur, un tyran de l’avenir qui prétend conquérir le monde.

Un grave danger menace la Kodama. La Kodama est un monde de forêts où sans arbre, nul ne peut vivre. En effet, sans arbre, pas de maison, pas de pont, pas de combustible pour le chauffage. Et malheureusement, le bois se fait rare. Un mal invisible semble s’être attaqué aux forêts et, lentement, il ronge le moral des lutins de Kodama. Afin d’enrayer cette tendance, sa Majestée Lutinellage convoque le vieux sage Corbéus. Ce dernier invoque à son tour les esprits élémentaires pour lui donner un nom, le nom de celui qui partira combattre le mal invisible. Kywal.

Livre classé « à partir de 9 ans ». Classement correct : c’est un joli conte pour enfants pas trop petits, gentil (quoique certaines piques acides, en particulier le contenu des articles du journal Le Père Fouettard, puissent laisser un arrière-goût aux lecteurs plus âgés et attentifs), mais qui demande, toutefois, pour produire tout son effet, que le lecteur connaisse déjà certains contes classiques (comme Tom Pouce, avec ce ménage d’artisans qui désirent un enfant, ou un autre conte qui résoudra l’énigme dès qu’on y pensera donc je ne le cite pas).