Critiques

Tous les super-héros ont un super pouvoir. Le mien est d’arrêter la pluie. Plus exactement, la pluie ne me touche pas lorsqu’elle tombe. Le café non plus. La soupe. Le diabolo menthe. Tous les liquides, du moment qu’ils sont projetés. Malheureusement, un tel pouvoir ne fait pas de moi un Batman ou un Superman. Et même s’il pleut sur Paris depuis deux mois et que les vieilles dames apprécient beaucoup Antipluieman pour aller faire leurs courses.

Sven est un membre des légions spatiales. Seulement, son principal défaut qu’il ne faut surtout pas avoir quand on est dans ce genre d’unités, c’est d’être une forte tête. Une nouvelle insubordination le menotte à un pilori. La sentence, vingt-cinq coups de fouet. Nous sommes au beau milieu d’un fort qui lui-même est au beau milieu d’un désert.

Fut un temps où les Hommes et les féeriques foulaient la même Terre, dans la plus parfaite harmonie. Puis les siècles passèrent. Les Hommes se laissèrent séduire par le métal et ils imposèrent leurs machines à la lande sauvage. Dès lors, les féeriques disparurent.

Après « Comme une Tombe » et « La Mort Leur Va Si Bien », Peter James et son détective constable Roy Grace sont de retour pour une troisième aventure, intitulée « Mort ou Presque » pour le plus grand plaisir des lecteurs… patients.

Capucin a trente ans. C’est un homme beau, grand et fort. Et c’est du côté de Marseille qu’on le retrouve. Là en bas, il convoite un objet précieux qu’il compte voler au Seigneur Adowaire. Pour l’accompagner, il a ce coquin de Patenôtre. Mais nos deux compères devront faire vite, car le duo du Diamant noir, la forte Octogonda et la téméraire Scarlet rôdent aussi dans le coin. Seulement voilà, ni les uns, ni les autres n’auront l’objet, car Adowaire veille. D’un tour de force, il les envoie tous les quatre en prison. Le lendemain, arrive le moment de la pendaison.

Le secret de la pyramide Into the wild

Une anthologie sur la terre, et pas seulement la Terre. En cette période d’incertitude écologique, le geste n’est pas neutre. Il ne s’agit pourtant pas d’une anthologie manifeste et moins de la moitié des 13 récits présente des Terres dévastées, disparues ou empoisonnées. On retrouve dans ces histoires le thème du survivant, que ce soit une créature magique dans un musée, deux sœurs dans un bunker ou des enfants dans une station spatiale. Ces textes abordent la solitude et l’absence et, sans être déplaisants, ne sortent pas du lot.

Voici Rebecca et ses amis partis en direction de la grotte du Père Gab. Mais le chemin est long jusqu’à trouver la porte qui unira notre monde à celui d’Ilvanna. Il y aura des monstres à combattre, des énigmes à résoudre, sans oublier l’effroyable Maître des Ombres.

J’avais lu ce roman en anglais bien avant que les œuvres de Megan Lindholm ne rejoignent celles de Robin Hobb sur les étagères des distributeurs français. Sur la page qu’elle a consacrée à ses premières œuvres, celles parues sous son premier pseudo d’écrivain (ses articles de revue étaient signés Astrid Lindholm), Margaret Ogden indique qu’elle demeure partagée sur le sentiment de succès ou d’échec qu’elle doit garder de son unique tentative d’écrire de la SF, publiée aux Etats-Unis par Bantam Books.

Pa-Grô et Ma-Grô sont des Néandertaliens vivant dans une grotte. Ils ont pour fils Bon-Grô qui suit sans hésiter son père à la chasse et Ti-Grô qui, lui, préfère rester à la grotte avec Ma-Grô. En effet, la chasse lui fait peur. Il n’aime pas voir les animaux souffrir. Un jour, des Cro-Magnons rencontrent nos amis Néandertaliens. Auprès d’eux, Ti-Grô va découvrir quelque chose de magique. La peinture murale. Malheureusement, son père voit d’un mauvais œil la venue de ces étrangers. Il interdit à Ti-Grô de les revoir.