Soumis par Georges Bormand le mer, 15/06/2016 - 06:00
Cette dystopie se passe en 2037 sur Rush Island. Une révolution a installé au pouvoir une certaine impératrice Harmony qui a promulgué la « loi Bradbury » interdisant les images en général et toute forme de photographie ou de cinéma en particulier, et la Brigade de l’Œil est chargée d’attraper et de punir les contrevenants en leur crevant les yeux. Le roman va suivre d’une part certains flics de cette brigade, d’autre part des jeunes qui essayent de retrouver les images perdues et, en particulier, celles des Temps modernes...
Soumis par Bruno Peeters le mar, 14/06/2016 - 06:00
La couverture annonce fièrement un dossier consacré à Michael Moorcock. En fait de dossier, Laurent ‘1661’ Pendarias approche l’œuvre du père d’Elric par le biais de la philosophie. Il démarre fort : « Moorcock, c’est le Tolkien français ». On peut ne pas être d’accord. Il analyse les héros moorcockiens à la lumière de Camus ou de Sartre, en remontant jusqu’à Sojan the swordman, roman d’extrême jeunesse. Viendra quand même le tour d’Elric, d’Hawkmoon ou de Jerry Cornelius, même du comte Aubec : on n’échappe pas au Multivers. Une petite allusion à l’uchronie conclut ce texte un peu hâtif.
Soumis par Anne Ledieu le lun, 13/06/2016 - 06:00
À New-York, Cara vit loin de tout tumulte, jusqu'au décès brutal de ses parents dans un accident de la route. Ce drame l'oblige à revenir dans la petite bourgade agricole de son enfance pour rénover leur ancienne maison laissée à l'abandon, dans le but de la vendre.
Lucas n'a jamais quitté Cornfield. Il s'est construit, seul, après les soudaines disparitions de son beau-père et de son frère aîné, Reed. Jeune entrepreneur, il est amené à effectuer les travaux chez Cara qu'il n'avait pas revue depuis dix-huit ans.
Soumis par Blogueur partenaire le dim, 12/06/2016 - 06:00
Chronique par Marine Stengel, blog partenaire La Livrothèque
Imaginez un monde où votre avenir a déjà été fixé… par votre futur moi !
Callie vient d’avoir dix-sept ans et, comme tous ses camarades de classe, attend avec impatience le précieux « souvenir », envoyé par son moi futur, qui l’aidera à se glisser dans la peau de la femme qu’elle est destinée à devenir. Athlète de haut niveau… Scientifique de renom… Politique de premier plan… Ou, dans le cas de Callie, tueuse.
Soumis par Georges Bormand le sam, 11/06/2016 - 06:00
Ce volume reprend un roman en deux volumes paru au Fleuve Noir Anticipation en 1990 sous les titres Ross et Berkel et Pedric et Bo. Il raconte l’histoire d’une civilisation fondée par un groupe de déportés d’une Terre dictatoriale. Mais Ross et Berkel, qui faisaient partie du groupe de déportés, se sont arrangés pour programmer leur départ dans des conditions meilleures, avec les données scientifiques nécessaires d’une part et un vaisseau qui ne suive pas l’itinéraire prévu.
Soumis par Georges Bormand le ven, 10/06/2016 - 06:00
Dans un Madrid où l’Église catholique cohabite sans opposition permanente avec les Sœurs de Diane, cercle magique local, c’est à Ana Montañez, sorcière diplômée en Angleterre même si Madrilène de naissance, que fait appel Federico Ruiz, héritier d’une maison hantée. Et même si elle ne devrait pas intervenir sur le territoire de ses anciennes sœurs, Ana profite de l’occasion pour revenir dans sa ville natale. Mais le spectre qu’elle va rencontrer et qu’elle devra affronter n’est pas du tout celui qu’elle croyait.
Soumis par Bruno Peeters le mer, 08/06/2016 - 06:00
Après le très réussi n° 39, le numéro suivant renoue avec le succès, mais de manière fort différente. La SF japonaise, on connaissait un peu, d’accord. Mais... la cosmanthropie ? Là, on cale, c’est sûr. Alors voilà, le dossier de ce n° 40, c’est « l’adaptation de l’homme à l’espace, au vide, sans scaphandre, ni aucune autre protection que celle de son corps, modifié, évolué » (P. Gevart). Le coordonateur est Jean-Pierre Laigle, éditeur, critique, écrivain, uchroniste et traducteur bien connu du milieu.
Soumis par Georges Bormand le mar, 07/06/2016 - 06:00
Les Martiens de Fredric Brown ont, certainement, pulvérisé à leur arrivée les limites de l’humour en science-fiction. Et il est hors de doute que, pour tout nouveau lecteur, ils ont conservé cette capacité de dépasser les limites de l’attendu.
Soumis par Anne Ledieu le lun, 06/06/2016 - 06:00
Rebecca Forwood vit à Paris depuis plus de trois ans. Lorsqu’elle se réveille ce matin-là dans la chambre d’hôtel d’un inconnu, elle panique. Elle n’a plus aucun souvenir de sa soirée ni de sa nuit, pas même du nom de l’homme qui entre dans la pièce en l’appelant par son prénom… Qui est cet inconnu ? Que s’est-il passé entre eux ? Est-il envoyé par ceux qui cherchent à la retrouver et qui en veulent à sa vie ? Peut-elle lui faire confiance ? Se laissera-t-elle entraîner dans la folle escapade qu’il lui propose à travers les rues de Paris pour remettre en place les pièces du puzzle ?
Soumis par Georges Bormand le dim, 05/06/2016 - 06:00
La réédition de ce livre, qui est déjà un classique à l’occasion de la parution en français de la suite L’Affaire Jesus, m’a permis, en le lisant d’y trouver un passage savoureux du fait d’une plaisanterie de l’histoire : en 1998, il était possible d’écrire que « l’exemple à fuir absolument… était celui d’un magnat de l’immobilier, un certain Donald Trump, depuis tombé dans l’oubli ». Cette phrase m’a fait bondir en la lisant dix-huit ans plus tard.
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