Critiques

Ce livre mêle deux histoires enchevêtrées, une part enquête policière dans un cadre interstellaire, une part space opera. Elles se déroulent plus de deux mille ans après l’Exode, l’abandon d’une Terre devenue inhabitable par les survivants des désastres liés à la pollution et au changement climatique à bord d’arches stellaires. L’Humanité s’est répandue dans la galaxie. Une partie des planètes est associée à la Fondation, regroupant humains et représentants d’autres espèces ou de variations mutantes de l’Humanité.

Jacob est enseignant en physique. Ancien grand chercheur, sa vie bascule le jour où Brian, un ex collègue, débarque chez lui pour tirer sur sa femme, dans le but de prouver une théorie hallucinante... Le lendemain, Brian est retrouvé mort. Tous les soupçons se portent logiquement sur Jacob. Alors que la police arrive devant chez lui pour l'arrêter, l'impensable se produit : face au choix impossible qui s'impose à lui, Jacob se dédouble... Tandis que l'un se laisse arrêter par les forces de l'ordre, la cavale commence pour l'autre...    J'ai trouvé ce roman intéressant.  

Un journaliste norvégien embarque à bord de l'Arrowhead, bateau pourfendeur des horreurs commises sur la faune marine. Au gouvernail, le célèbre capitaine Magnus Wallas, aussi haï que respecté. Avec une précision presque documentaire, ce journaliste nous raconte le combat de ces hommes et de ces femmes qui ont choisi, au delà des lois et de la lâcheté humaine, de donner leur vie pour les habitants de la mer...     Le règne du vivant est un très beau roman, qui s'empare d'un sujet actuel et urgent.   

De l'espace, des vaisseaux, des gentils et des méchants. Du très bon sous condition.

Ce roman est le troisième tome de la série The expanse.

Cette assez courte nouvelle d’Isaac Asimov est déjà parue ici ou là dans des anthologies, et tous les amateurs de SF en ont entendu parler. La relire oblige à s’interroger sur son sens.

Des nouvelles de jeunesse où couve le futur Terry Pratchett.

À cinq ans, on est innocent, dans tous les sens du terme... Une belle journée de sortie des classes qui vire au cauchemar. Une enfant de cinq ans a disparu. Que s’est-il passé dans la forêt ? À cinq ans, on est innocent, dans tous les sens du terme. Pourtant, ne dit-on pas qu’une figure d’ange peut cacher un cœur de démon ?  

Un Djinn et un Golem à New York à la fin du 19ème siècle. Concept improbable, roman hautement réussi.

Une colonie de terrabatisseurs s’installe sur Baker–119–g. Bien vite et après qu’une nouvelle ville s’est érigée comme une toile d’araignée, des colons tombent malades. La mort s’ensuit rapidement. L’épidémie prend des proportions planétaires. La cause ? Certainement l’actionnaire principal des réacteurs atmosphériques. Pour gagner toujours plus d’argent, il rogne sur la qualité du matériel. Clive, un colon ex-militaire s’est installé sur Baker–119–g. Sa femme et son fils meurent subitement de cette curieuse épidémie. Fou de rage, il se rebelle.