Critiques

Kristin Antipova ne s’attendait pas à voir des montagnes de sable surgir de son placard. Tout comme Monsieur Abeels ne comprend toujours pas pourquoi des dizaines de pierres, pesant toutes 6793 grammes, apparaissent brusquement chez lui. Mais ce n’est pas tout. Un peu plus loin dans le quartier, c’est Maurice, le restaurateur, qui n’arrête pas de perdre du poids chaque jour. Bientôt 94 kilos, en seulement 15 jours. A ce rythme là, il va finir par s’envoler. Mary, celle qu’on appelait « l’enfant penchée », débarque à Brüsel pour résoudre l’énigme de ces drôles de phénomènes.

A la fin du XXIème siècle, la planète est désormais scindée en deux entités géopolitiques distinctes que tout oppose. On trouve d’une part les pays appartenant au « monde développé », regroupés autour du G16, vaste ensemble hyper technologique interconnecté, et d’autre part ceux relevant de la Confédération des Nations Premières, amalgame hétéroclite de peuples indigènes (Mongoles, Aborigènes d’Australie, peuples d’Amérique du Sud et d’Afrique…) que leur rapport plus authentique à l’existence réunit.

Peter Parker n’est plus qu’un vieux croulant dans un New York sécuritaire. Pendant que ce dernier se lamente sur la mort de Mary Jane, le maire Waters dresse sur la ville sa dernière invention, la toile. Un bouclier laser qui protégera les New-Yorkais des attaques terroristes et surtout, empêchera quiconque venu de l’extérieur de s’interposer contre la politique de couvre-feu mise en place. En effet, pour défendre la démocratie, New York est devenu un empire sécuritaire.

« Shinobi », pour qui n’est pas familier avec la culture japonaise, n’est autre que l’ancien vocable désignant traditionnellement les « ninjas » - ces guerriers de l’ombre vêtus de noir, encagoulés, silencieux et redoutables (ainsi qu’on se les représente habituellement, du moins, bien que la réalité fut probablement tout autre, fort éloignée en tout cas de cette image romantique).

Hugo se lève, pose son doudou sur le fauteuil à côté de son lit, il embrasse sa maman, se lave, fait popo, puis part à la cuisine. Là, papa a une surprise : 3 énormes croissants tout chauds. Hugo s’asseoit, prend son p’tit déj’ et dévore son croissant. Mais Hugo est gourmand. Il profite que maman lise son journal pour lui voler son croissant. Soudain, maman a faim. Quoi ? Comment ? Qui ? Pourquoi ? Maman et papa cherchent partout le croissant disparu. Hugo rit tout doucement, lorsque apparaît la sorcière grenadine.

Jemma Hourtin est une privilégiée dans l’Europe d’après-guerre. Elle dispose d’un travail correctement payé, d’une maison sécurisée et suffisamment chauffée malgré l’hiver sibérien qui sévit sur Paris depuis la fin du conflit. Sa vie bascule lorsque sa fille de dix ans disparaît sans laisser de traces ni de piste. Elle rencontre bizarrement un ancien journaliste, Luc Flamand, et accepte de partir sur les routes à la recherche de sa fille Manon. Leur destination : l’enfer de Damas.

Merlin et son équipe poursuivent leur quête direction la forteresse de Kunjir. En chemin, trolls, gornaks et autres créatures fantastiques s’opposent à eux. Pendant ce temps, la bataille entre Tuatha et Formori fait rage dans la dite forteresse. Pas mal de rebondissements dans ce 2ème tome. La trame classique de la quête suit son cours. Dommage que l’esthétique des lieux et des personnages fasse trop copier-coller avec « Le Seigneur des Anneaux ». A réserver aux fans. Titre : Merlin, la quête de l’épée – tome 2 Scénario : ISTIN Jean Luc Dessin : DEMARE Nicolas Couleurs : CORDURIE Sandrine

Wall est un petit village d’Angleterre banal et peu évolué. La vie y est monotone et pourtant, jours après nuits, deux villageois montent la garde devant la brèche du Mur, empêchant quiconque de passer de l’autre côté. Le danger semble lointain mais chaque habitant sait qu’on ne revient pas du Pays des Fées, qui regorge de licornes, de sorcières et de princes sanguinaires. Pourtant tous les neuf ans se tient la Foire des Fées à laquelle les habitants de Wall et tous ceux qui le souhaitent peuvent participer.

Jamais sans ma fille L’enlèvement