Critiques

Sur la route des Indes Voyage surprise

C’est un roman qui comporte deux sortes de défauts : une accumulation d’idées originales plus ou moins coordonnées au fur et à mesure des découvertes des héros, et des défauts de mise en forme (grammaire ou syntaxe) qu’une absence flagrante de correction éditoriale n’a pas corrigés.

Agathe part en vacances de neige avec sa classe. Dans les bagages, elle a emmené Trévor, son chat gaffeur, et Nestor 18, le robot. Une nuit, elle retrouve son ami Vincent. Celui-ci possède désormais un visage et quel visage ! Un visage beau, lisse et régulier. Agathe tombe sous le charme. Elle est amoureuse. Mais un si joli garçon voudra-t-il d’une gamine au physique si banal ? Ah ! Apparence quand tu nous tiens !

Jacques Finné arrive enfin au terme de sa longue exploration du fantastique américain. Entreprise qu’il faut saluer à juste titre : il s’agit sans doute ici de l’histoire la plus complète du genre en langue française. Le premier s’intitulait « Des origines aux pulps », le second « De la mort des pulps aux années du renouveau » et celui-ci : « Du renouveau au Déluge ». Et s’arrête ’arbitrairement’ suivant les mots même de l’auteur, en 1985.

Les manipulations de la Torent touchent à leur fin. Cette fois-ci, ils décident d’envoyer Yves Fréhel au paradis. Là-haut, il rencontrera tous ses ancêtres à qui il pourra parler de son travail sur terre et de ses secrets qui lui permettront d’être en paix avec le créateur. Un final en beauté pour cette série policière sur fond de fantastique. Jusqu’à la fin, nous ne savons pas ce qu’il adviendra du héros et nous suivons avec intérêt toutes les révélations faites par les dirigeants de la Torent. Titre : Frontière – tome 4 – Oublie tout Scénario : RODOLPHE Dessin : MARCHAL

A cause d’un assassinat Dans la ligne de mire

Le seigneur des agneaux Contamination

  L’avis de Georges

Captain Biceps n’a pas son pareil pour rétamer les super vilains. Liquid man, il se l’avale au p’tit déj’ et il se le finit en pipi man. Si le maître des slips lui hypnotise le string, c’est tout nu qu’il lui mettra sa baffe. A la créature des égouts, il lui envoie son pet des enfers. Au motard fantôme, il transforme sa moto en trottinette. Quant au Surfer d’alu, il en fait une jolie casserole. Mais attention, sans sa petite m’man pour lui recoudre son costume, Captain Biceps n’est rien.

L’orphelinat et ses fantômes Un, deux, trois soleil