Littérature

Le nouveau volume des Enquêtes du commissaire Léon, le flic qui vit à Montmatre avec maman et tricote des paletots ringards pour son chien Babelutte. La réédition de la série culte se poursuit ! Dans Clair de lune à Montmartre, entre deux mailles de tricot, le commissaire Léon enquête sur de curieux meurtres, commis à la maison de retraite Le Clair de lune. Mais les p’tits vieux ont la peau dure et la langue trempée dans le vitriol ! Sur un air de Carmen Cru, assaisonné de vacheries, un délire rocambolesque bien épicé.

Qui connaît encore Byron (1788 – 1824) ? Qui le lit ? Plus personne, je le crains. Les amateurs de fantastique se souviennent de la soirée à la Villa Diodati, en 1816, durant laquelle il esquissa Vampire, terminé par Polidori, à l’origine d’un mythe au succès incalculable, et les mélomanes de quelques compositions s’inspirant de ses oeuvres : Harold (Berlioz), Les deux Foscari et Le Corsaire (Verdi) et ce Manfred (Schumann, Tchaïkovski).

Il s’agit d’un livre destiné aux adolescents qui reprend les idées de base de la duologie des Naufragés de l’entropie (La Parallèle Vertov, Les Manuscrits de Kinnereth). Mais ce livre s’adresse, d’abord, à des jeunes qui n’ont pas lu ces deux romans : alors, sans en contredire les découvertes et les conclusions, ce roman nous remet dans la situation préalable aux dites découvertes des héros précédents. Dont l’héroïne principale de ce roman est la fille, Emma.

Suite des aventures des Dolce, la dernière famille de magiciens au monde. Envoyés dans le temps, nos héros sont séparés : la mère est partie sur le Londres des années 60, le père au Japon des années 20, les enfants, eux, sont dans le futur proche, l’une à New York, l’autre à Paris. Il faut absolument qu’ils se retrouvent pour rassembler les 3 grimoires et lutter contre le mal incarné par leur oncle qui est passé du côté sombre de la Force, du côté des sorciers.