SOLARIS

Solaris n° 206

Pas de thème particulier pour ce numéro de printemps 2018. Pascale Raud, rédactrice en chef, décrit son numéro comme « peu ensoleillé, et même exceptionnellement sombre. Dommage ? Je ne le crois pas : la science-fiction n'est-elle donc pas faite pour inquiéter et pour questionner ? ».  

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Solaris n° 205

Pas de dossier, cette fois, mais six nouvelles de belle facture.

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Solaris n° 204

Après un petit hommage à Brian Aldiss, grand parmi les grands, décédé le 19 août 2017, le numéro se centre sur... l’opéra.  

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Solaris n°190

Pierre-Louis a un voisin qui parle une langue incompréhensible. Il en apprend quelques rudiments puis se rend à un Salon de l'Occulte pour essayer d'en trouver la clé. En soulevant un rideau d'un des stands, il aboutit dans un autre monde, dans lequel non seulement personne ne comprend la langue du fameux voisin, mais ni l'anglais ni le français non plus. Il est coincé, ailleurs. La langue des autres, texte assez fascinant d’Éric Gauthier, qui évoque tant Epépé de Ferenc Karenthy que Krouic, une des plus étranges aventures de Bob Morane (Henri Vernes).  

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Solaris n°189

Valable pour deux essais.

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Solaris n°187

Je parcours le sommaire et tombe sur La Renaissance de Barsoom, essai de Mario Tessier. Que fais-je ? Je lis tout de suite, entendu. En vingt pages, le sympathique et compétent chroniqueur de Solaris fait le tour de la question, en parcourant physique, astronomie et littérature martiennes. Laplace, Schiaparelli et Lowell aboutissent logiquement à H. G. Wells et E. R. Burroughs, puis à Ray Bradbury et à Leigh Brackett. La conclusion mentionne un regain de parutions aux États-Unis, en 2012, de nouvelles romances planétaires comme New Adventures on Barsoom ou Old Mars.

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Solaris n°186

Nos amis canadiens ont mis le paquet : voici un des plus riches Solaris de ces derniers temps ! Peut-être parce que le thème du dossier m’interpelle ? Le fantastique urbain est fascinant, en effet, parce qu’il nous touche tous, dans notre vie quotidienne.

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Solaris n°185

Terrible dragon de couverture de Guy England, qui inaugure bien le numéro. Curieuse nouvelle chinoise d’Orson Scott Card, Le Tricheur, assez politique. Le Bandeau vert de Monsieur Hayashide Yann Quero, conte philosophique amusant, continue sur la lancée asiatique, nipponne, cette fois. M. Hayashi, employé anonyme, un peu distrait, a mis un bandeau vert, symbole de contestation : il devient un héros malgré lui. Utuk, d’Alain Ducharme, me semble le meilleur récit de ce Solaris.

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Solaris n°183

Le Prix Solaris 2012 a été décerné à Jean-Louis Trudel pour Le Jardin des derniers humains. Il est donc bien que ce texte ouvre ce numéro. Le cadre est chaotique : la Terre est en proie à diverses catastrophes naturelles, les USA sont en faillite, les Chinois triomphent et l’Union euro-maghrébine est une puissance mondiale. Le sculpteur Rufus Boyko veut ériger des totems le long de la côte ligurienne, comme un avertissement, « un rappel tangible d’un futur non encore advenu ». La connotation écologique ne nuit pas à la force du texte, au contraire.

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Solaris n°182

« Psychanalyse (sauvage) des grands thèmes de la science-fiction » : sous ce titre austère se cache un brillant essai d’Elisabeth Vonarburg. Voilà qui n’est pas trop fréquent à l’intérieur d’une revue et qui fait tout le prix de ce numéro. En quelque 42 pages, « l’égérie de la SFQ » aborde les grands thèmes en quatre parties : l’espace, le temps, la société et les êtres.

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