BEAR Greg

Cité à la fin des temps (La)

Jack, Ginny et Daniel ont un pouvoir étrange : celui de se glisser d'une ligne monde à l'autre, d'emprunter quand ils en ont besoin l'une des multiples vies qui découlent de leurs choix. De temps en temps, ils rêvent d'une cité sur le point de s'éteindre, dans un avenir très lointain. Cette cité-là, Tiadba et Jebrassy la connaissent bien : ils y vivent depuis leur naissance. Mais au delà des générateurs de réalité, le chaos règne en maître. Il leur faudra pourtant le traverser pour garder une chance que l'espèce humaine perdure dans cet univers où elle n'est plus que l'ombre d'elle-même.  

Cité à la fin des temps (La)

Ce roman fait explicitement référence à deux classiques de la SF, celui d’Arthur C. Clarke La Cité et les astres, mais aussi au Pays de la Nuit de William Hope Hogdson, cité dans l’histoire comme l’un de ces rêveurs qui ont conscience de la Cité, la Kalpa, le dernier point stable d’un univers entier envahi par le Chaos. Cette cité, créée par les derniers post-humains, est assiégée par les créatures du Chaos, le Typhon, les Silencieux, et peuplée par des créatures qui servent leurs maîtres Eidolons.

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En quête d'éternité

Vu par Freddy Quand j’ai eu ce bouquin dans les mains, je l’ai d’abord tourné et retourné en me disant : « Dans quel pétrin tu vas t’enliser Freddy ! ». L’épaisseur du livre, sa photo de couverture et son titre ne me disaient rien qui vaille. Le synopsis sur le dos, je l’ai parcouru en me disant que j’allais devoir me farcir cinq cents pages d’études scientifiques. Des tronches bardées de diplômes allaient m’en mettre plein la vue avec des équations, des termes et des colloques dont seuls eux sont équipés pour comprendre.

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Enfants de Darwin (Les)

C’est le genre d’œuvre qu’on aborde avec un respect d’autant plus grand qu’on a déjà lu L’Échelle de Darwin, dont ce livre est la suite, qui raconte l’évolution de la vie des « enfants de Sheva », ces enfants qui sont, peut-être, les premiers représentants de l’espèce qui doit succéder à l’Homo Sapiens Sapiens. Seulement le lecteur qui parvient à avaler ce nouveau pavé ne peut s’empêcher de remarquer un certain nombre de défauts au livre.

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