Critiques

Caverne (La)

  Avertissement Les habitants de cette ville si semblable aux nôtres vivent dans deux dimensions. Le jour, ils mènent une vie ordinaire, mais sans cruauté ni agression ; la nuit, dans leurs rêves, ils entrent dans le monde de la Caverne, et chacun d’eux s’y transforme en animal – prédateur ou proie, fort ou faible… Peut-on laisser sortir le fauve humain de l’obscure caverne ? Et surtout le faut-il ?

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Interzone

Les textes regroupés dans cet ouvrage assurent la transition entre la première partie de l’œuvre de Burroughs, qui s’étend grosso modo jusqu’à la rédaction de « Queer » en 1951, et la publication de son œuvre maîtresse, le « Festin Nu », en 1959. Retrouvés en 1984 dans les archives d’Allen Ginsberg, avec qui il entretenait une correspondance fournie, ils ont été pour l’essentiel rédigés à Tanger, où Burroughs s’est installé en 1954.

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Peuple d'en haut (Le)

La suite de « La cité de l’ombre », aussi passée au cinéma, nous raconte la période de 6 mois d’adaptation des habitants d’Ember à la vie « en haut ». Au début, même s’ils sont surpris, les 400 habitants de Sparks les accueillent et partagent hébergement et repas mais vite, la nature humaine reprend ses travers et jalousie et protectionnisme reviennent. Ne le cachons pas, il n’y a aucun élément de fantastique ici. Il s’agit d’une chronique tout à fait honorable des difficultés d’adaptation d’un groupe à un autre et des rivalités tant internes qu’externes à chacune des communautés.

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Alexandre le Grand et les aigles de Rome

Lors d’un banquet, Alexandre le Grand est empoisonné par Perdiccas, un de ses « fidèles généraux » sur ordre de l’épouse du Roi. Mais grâce à l’intervention du mystérieux Nestor, médecin amnésique surgi du néant, le Macédonien survit. Alexandre va désormais pouvoir s’attacher à parachever son œuvre de conquête en attaquant son plus formidable ennemi, Rome.

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Nains, lutins et autres gnomes

Un livre pour les plus jeunes qui nous présente par page thématique le monde surprenant des nains, lutins, gnomes et autres gobelins. Là où les ouvrages concurrents comme ceux d’Edouard Brasey s’adressent plus à des adultes tant dans leur format que pour leur contenu fort cultivé, nous tenons en mains un ouvrage adapté aux 10 ans et plus qui mêle des dessins originaux à la poésie et l’humour.

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L'âge de glace 3 : Le temps des dinosaures

Voyage au centre de la Terre Les enfants terribles

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Royaume désuni

Les guerres civiles ne sont pas l’apanage des pays du Tiers Monde. Nos sociétés occidentales sont également susceptibles, du jour au lendemain, de sombrer dans le chaos le plus noir si par malheur un concours de circonstances néfastes vient à se produire. Telle est du moins la thèse de James Lovegrove, l’auteur de ce roman d’anticipation, qui applique cette recette à son propre pays, ce royaume anglo-saxon qui n’a dans ces pages plus rien d’uni.

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Or du prédateur (L')

Tom et Hester continuent à voyager à bord du Jenny Haniver après avoir fuit la locomopole de Londres qui explosait. Leur amour les rend plus forts mais il leur faut fuir les amis d’Anna Fang, l’ex-propriétaire du navire et ils arrivent sur Anchorage, petite ville sur chenilles des lointaines contrées glacées. Là où Tom se sent bien, dans une ville un peu civilisée et courtisé par « Sa splendeur », la maragravine Freya, Hester se sent vite de trop, comparant son visage balafré aux 15 ans resplendissants de la très jeune et boulotte souveraine.

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Meta Muta

Dès la première page, Lino se prend une balle dans la tête. Mais il survit et s’enfuit avec son ami Vinz, sur la Freeway. Dans sa course folle, leur bagnole dérape, trois tonneaux, un camion. Blam ! Vinz meurt sur le coup. « Vinz, mon pote. T’es mort ? Mais tu peux pas. Pas à moi ! » hurle Lino. Cette bd est complétement barrée. Faisant le yoyo entre passé et présent, l’auteur nous entraîne à travers les méandres d’un cerveau dérangé, celui de Lino, le héros du MutaFukaz – A ce propos, j’attends le tome 3 Monsieur Run ! Pleeease !

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Neuropath

A mon avis, j’ai du louper quelque chose. Annoncé comme LE thriller diabolique de l’année, ce Neuropath m’a laissé froid, pour ne pas dire indifférent.

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