Littérature

Des années 1920 revisitées sur la base d’un miraculeux métal qui nous fait voyager de Paris à Mars. Un très bon moment de lecture se cache derrière la belle couverture de Didier Graffet.

Anthologie concoctée par deux briscarts du genre, Daniel Conrad et Benoit Domis. Pas d’intro ni de préface, dix nouvelles et un interview, c’est tout. Du texte seul, du texte avant tout. Auteurs divers, connus ou moins, anglo-saxons ou non. Ca commence assez gore avec Le Seuil de Glynn Barrass, à la thématique plutôt originale : un groupe de tueurs à gages investit une villa isolée pour tuer un savant coupable d’avoir inventé une source d’énergie nuisant au commanditaire. L’ennui, c’est que ledit savant – fou bien sûr – ne maîtrise plus sa machine à inventer cette énergie.

Isabella Swan est amoureuse de Edward Cullen, 17 ans. Deux drames agitent sa petite vie tranquille : elle fête ses 18 ans et Edward n’aura jamais que l’apparence d’un jeune homme de 17 ans d’une grande beauté à la peau très claire. Edward est un vampire. Avec sa famille -en fait un ensemble de vampires d’âge divers ayant décidé de ne plus tuer pour se nourrir -, il s’est installé dans cette petite ville américaine où il pleut le plus. Les jours de soleil, lui et sa soeur Alice ne se rendent pas au lycée sous peine de voir leur peau étinceler en mille feux sous la caresse du soleil.

Riley est moitié Vampire moitié Loup-garou. De son côté loup, elle possède une sexualité débridée et la capacité de se transformer. De son côté vampire, la capacité de se glisser dans les ombres. Heureusement pour elle, Riley n’est pas unique car son frère jumeau est comme elle. Voilà Riley gardienne - malgré elle et consentante à la fois. Si elle a accepté de devenir un agent de terrain c’est pour enquêter et découvrir qui les a enlevés elle et son frère. Qui a créé et tué Mika. Pour protéger sa meute même si les seuls membres sont elle et son frère.