Sur les chats
Poursuivant la publication des poèmes de l’auteur américain, Le Diable Vauvert nous offre cette fois les réflexions de Buck sur les chats. L’animal qu’il appréciait plus que tout, plus que ses semblables même puisqu’il admirait chez eux leur capacité à se détacher de ce qui les entoure, de cette façon d’observer le monde tel qu’il est, de finalement réduire leur vie à l’essentiel, manger, dormir, chasser. Bukowski les considérait non seulement comme une source inépuisable d’inspiration, mais également comme des professeurs en matière d’existence et comme une incroyable source de bien-être.