Légendes d’Afrique

Voilà une anthologie que j’attendais depuis un certain temps. Dirigée par Marc Bailly, elle aurait dû voir le jour un an plus tôt. Mais certaines péripéties l’ont retardée. Ce qui en soi n’est pas une mauvaise chose, car c’est les éditions Elenya qui ont enfin donné corps à celle-ci. Avant de parler de chaque nouvelle, je voudrais juste préciser que je fais aussi partie des auteurs qui ont participé à son élaboration. Je ne ferai donc aucune remarque sur mon propre texte, me contentant de résumer l’histoire en quelques lignes.

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Roue de glace (La), série Dr Who

Je ne sais pas si je suis une fan de Dr Who. Mais j'en ai vu un certain nombre d'épisodes, toujours avec plaisir, toujours captivée par les aventures de ce personnage excentrique aux comportements imprévisibles. C'est donc par curiosité que j'ai lu « La roue de glace », intriguée à l'idée de savoir comment un écrivain pourrait retranscrire dans un roman la douce folie du Docteur.

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Mère de Panthera (La) T3

Troisième épisode du feuilleton, où on redécouvre la lutte de Panthera contre les ennemis qu'elle n'a pas encore identifiés. Gravement blessée, Panthera va surtout reprendre des forces et essayer de faire le point, pendant que ses ennemis se préparent contre elle, que les autres personnages hésitent à choisir leur camp dans la lutte qui s'annonce. Un volume d'attente donc et de découverte d'un petit nombre d'informations nouvelles ou anciennes, à la fin duquel les positions des différents protagonistes ont légèrement évolué.

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Naufragés éternels

Le plus gros défaut du livre, c'est l'absence des accents sur le titre de couverture, qui laisse pendant quelques secondes un doute quant au sujet : un certain nombre de récits qui se suivent dans l'histoire, entrecoupés du récit principal, celui du narrateur qui va découvrir l'histoire de ces deux naufragés que nous voyons, au fur et à mesure de l'histoire, s'adapter aux nouvelles conditions sociales tout en évoluant, eux aussi, et assister à la fin de leur séjour sur Terre.

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Éternité

L’Archipel du Crabe, comme toute la Terre de Sel, est partagé entre deux pouvoirs antagonistes, la Magie et l’Acier. L’équilibre entre les deux est fragile mais la victoire de l’un des deux camps n’entraînerait que malheurs et ruines. Tous les cinq siècles, les dieux salins choisissent un Élu et lui offrent une graine, dont il doit décider l’usage. Naslie a reçu la graine de l’Éternité et l’a offerte à la Terre de Sel.

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Liquidation (La)

Laurent Cordonnier est économiste et a déjà écrit deux livres qui sont probablement plus des essais ou des pamphlets que des romans : Pas de pitié pour les gueux (Raisons d'agir 2000) et L’économie des Toambapiks (Raisons d'agir, 2010). C'est sans doute pour cela que ce roman souffre aussi fort d'une volonté de démonstration d'une part, d'une exposition répétée, à peine justifiée par les réflexions personnelles du héros et les conversations qu'il entretient sur ses convictions et celles de ses amis, bref d'un excès de théorie et de didactisme.

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Roses de Karakorum (Les)

Dans ce fil historique, les Mongols ont conquis toute l'Europe en vainquant l'une après l'autre toutes les armées occidentales. Le prologue du livre raconte la défaite des armées françaises menées par Louis le Neuvième (qui ne sera jamais saint).

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Monde de la fin (Le)

Le monde de la fin d’Ofir Touché Gafla est le dernier titre paru dans la collection Exofictions d’Actes Sud. Il a reçu le prix Geffen du meilleur roman dans la catégorie Fantasy/Science-fiction et le prix Kugel de littérature hébraïque en 2006.

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Il est difficile d’être un dieu

Sur Arkanar, la société féodale est aux mains du Roi et surtout de son terrible ministre de la Sûreté. Les nobles se contentent de vaquer à leurs occupations oiseuses, tel Roumata. Celui-ci a pourtant un curieux passe-temps : le sauvetage d’intellectuels persécutés par le pouvoir royal. Le jeune noble prend des risques mais il est un de ces surhommes que certains considèrent comme des dieux. Cela suffira-t-il à le sauver ?

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République des enragés (La)

Un amusant roman qui ravive chez ceux qui ont des souvenirs de la « révolution manquée de 68 », et qui l'évoquera aux autres, mais pour plusieurs raisons ce n'est pas une uchronie. Avant tout parce que l'histoire, qui se passe aux prémices des « événements de Mai » et s'achève le 10 mai, donc avant les grandes manifestations, ne prétend pas suivre et développer une histoire divergente.

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