Critiques

L’amour est une grande aventure Planète interdite

Tout le monde vous le dira. Nul n’est jamais sorti indemne de sa rencontre avec un Grand Ancien. Et si ce n’est pas la mort qui attend le malheureux, la folie l’emportera. Bill, par exemple, a exploré les eaux sombres de Dagon et même isolé du monde sur sa plate-forme pétrolière, il n’échappe pas à l’abomination de ce qu’il a vu. Seul, il s’asseoit dans le noir, puis ressasse l’événement, sombrant un peu plus, chaque soir, dans sa lente agonie. Pareil pour Earl, ce commando d’élite des SWAT. Qu’a-t-il vu exactement dans ce lycée ?

L’action de ce roman bondissant, aux personnages attachants, se déroule dans un univers parallèle au nôtre. Dans cette réalité, un virus mutant portant le doux nom « d’Ange », s’échappe d’un laboratoire militaire dans l’Arctique à la fin des années soixante, en pleine Guerre Froide. Résultat des courses : un quart de l’humanité est éradiqué. Les Etats-Unis ayant fermé leurs frontières à temps, les dégâts sont plutôt moindres sur leur territoire que dans le reste du monde, mais néanmoins conséquents.

La fureur de vivre Les raisons de la colère

La traque Détour mortel

Carnets de voyage   The descent

Un plan simple La rançon

Crimes et pouvoir L’incroyable destin de Wesley Gibson

  Ce roman initiatique incontournable, véritable « road-movie » aérien au-dessus de la Suède du début du XXème siècle, est l’œuvre du prix Nobel de littérature pour l’année 1909, Selma Lagerlöf. Rédigé à la demande d’enseignants désireux de fournir à leurs élèves un panorama détaillé des diverses provinces suédoises - tant du point de vue de leur géographie que de leurs coutumes - « Le merveilleux voyage de Nils Holgersson » nous fait partager le quotidien d’un groupe d’oies sauvages, menées par Akka de Kebnekaïse, migrant vers le nord en destination du septentrion et de la Laponie.

Créateur d’un fanzine « Burroughsiana » alors qu’il était au lycée, plus tard rédacteur en chef de « Tarzan adventures », Moorcock n’a jamais caché son affection pour E.R. Burroughs et particulièrement pour le Cycle de John Carter. L’heroic-fantasy devenant une seconde nature, parfois alimentaire, il se lance dès 1964 dans la saga d’Elric le Nécormancien, qui resta son plus grand titre de gloire.