Critiques

Après La légende de Tarzan et Le cycle de Mars I, les éditions Omnibus poursuivent la réédition des chefs-d’œuvre du pionnier de la science-fantasy. Voici donc la suite (et fin) des aventures de John Carter, parues de 1927 à 1941 : - Le conspirateur de Mars (The Mastermind of Mars) - Le combattant de Mars (A Fighting Man of Mars) - Les épées de Mars (Swords of Mars) - Les hommes synthétiques de Mars (Synthetic Men of Mars)

Lorsque la nuit tombe sur Londres, les monstres sortent… Car, de nos jours, la magie existe. Ni balai volant ni baguette magique : les sorciers dégénérés sont les mutants de l’underground. Face à eux, ceux qui les nettoient car personne ne doit savoir… Ce cinquième roman de la collection « Trash », inspirée en toute connaissance de cause, de la série « Gore » des Editions Fleuve Noir, se déroule à Londres.

Cassy a eu un grave accident de voiture et une année de coma. Quand elle se réveille, elle a la capacité de voyager dans les rêves des autres et d’y dénicher des secrets qu’ils ne dévoileraient pas à l’état conscient. Orpheline, elle est prise en main par Edgar, un puissant voyageur des rêves, qui travaille dans un centre où il entraine les jeunes dans le cas de Cassy, afin d’en faire des espions des rêves, des onirispies. Cassy, très douée, découvre que le monde des rêves et aussi une jungle avec des dérêveurs et des cauchemardeurs, des ennemis et des amis, espionnage et contre-espionnage.

Voici un curieux livre, une réflexion philosophique et historique dans lequel on peut se demander quel rôle joue la variation SF représentée par le remplacement des avions japonais par des dragons, alors même que les avions américains sont conservés. Comme sont conservées toutes les phases de la guerre telle qu’elle a eu lieu dans notre espace-temps, et rien ne permet de penser que les citations de personnages ayant existé dans notre histoire aient été modifiées.

Dans un univers alternatif dont on ne connaît pas vraiment l’histoire, un détective installé à Vientiane se trouve chargé de découvrir un écrivain mystérieux, qui publie une série de romans consacrés à un chef terroriste imaginaire nommé Oussama Ben Laden. En fait, le roman est entrecoupé d’extraits des tomes de cette série qui, dans notre univers, pourraient passer pour des articles de journaux annonçant les différents attentats que notre monde a réellement connus. Mais il semble que, dans le monde où vit notre héros, ils ne correspondent à aucune réalité.

Je n’ai pu m’empêcher de penser à mon saint patron Don Alonzo Quijana, Seigneur de la Mancha, en lisant ce livre. D’une certaine façon, le héros est une réincarnation de Don Quichotte.

Au large du Japon, Laurence est tombé de son dragon et a perdu la mémoire. Il ère dans un pays hostile à l’Angleterre et tente, intuitivement, de rejoindre le grand port le plus proche. Téméraire et les autres dragons sont en piètre état, à bord d’un navire échoué par la tempête et surtout tous déboussolés. Et quand tout se met en route, voilà nos héros envoyés par un prince chinois félon sur le front des guerres napoléoniennes aux alentours de Moscou.

Notre jeune occulateur continue sa quête : que cherche donc sa mère, une méchante bibliothécaire ? Mais où es son père, un puissant occulateur ? Dans le tome 3, Alcatraz arrive en vedette dans le royaume de Nalhalla mais les traitres trament un grand complot.

Petit opuscule paru à l’occasion d’une exposition organisée à la Maison d’Ailleurs d’Yverdon, consacrée au film Stalker d’Andréï Tarkovsky, et à son courant esthétique : le post-apocalyptique. Précisons qu’il s’agit du premier numéro d’une nouvelle collection liée au célèbre musée suisse.

Il suffit que Victoria monte sur son vélo et passe sur le vieux pont derrière chez elle pour ressortir là où elle le souhaite. Elle sait que personne ne la croira. Elle-même n’est pas vraiment sûre de comprendre ce qui lui arrive.