Soumis par Equipe Phenix le mar, 08/04/2014 - 11:56
Lady Alexia Maccon a de nouveau des problèmes. Mais cette fois, elle n’y est vraiment pour rien. La reine est menacée par un fantôme fou. Alexia se charge de l’enquête qui va la faire remonter jusque dans le passé de son époux. Pendant ce temps, sa sœur rejoint le mouvement des suffragettes, Madame Lefoux met au point sa dernière invention mécanique et des porcs-épics zombies envahissent Londres, le tout une nuit de pleine lune. Sans compter qu’Alexia doit déceler ce qui a élu résidence dans le deuxième dressing préféré de Lord Akeldama.
Soumis par Christophe Corthouts le mar, 08/04/2014 - 09:15
Guillaume Musso est un excellent auteur. Voilà. Est-ce si difficile à écrire ? À admettre ? À défendre ? Certes, il n’obtiendra jamais le prix Goncourt.. Et franchement, il est le premier à le déclarer. Certes, il ne passe pas ses journées à écrire sur son nombril, ou à ciseler des opuscules de 150 pages emplis d’autosatisfaction béate. Certes, il ne tricote pas des romans à clé, où la moitié du petit monde littéraire parisien cherche à débusquer l’autre moitié dans des situations sexo-scabreuses.
Soumis par Bruno Peeters le lun, 07/04/2014 - 13:50
Au hasard de mes pérégrinations au long des nombreux stands, à la dernière Foire du livre de Bruxelles, je tombai sur celui d’une librairie arabe. Un titre, Voltaire et l’Islam, m’interpella tout de suite : j’ignorais complètement que les rapports de Voltaire avec la religion de Mahomet avaient fait l’objet d’une étude approfondie et, qui plus est, de la main d’un auteur musulman. Djavâd Hadidi, né en 1932, est un lettré iranien, qui soutint cette thèse à la Sorbonne en 1960.
Soumis par Christophe Corthouts le lun, 07/04/2014 - 07:08
Alors que les rayons des librairies se parent du Coben de saison en grand format, Pocket offre, en toute logique, aux lecteurs de découvrir la cuvée 2013 au format de poche.
La formule Coben est connue depuis le succès de « Ne le dit à personne » : un démarrage en trombe et des personnages apparemment sans histoire qui voient leur vie bouleversée par un événement du passé. La qualité de chaque roman dépend alors du caractère des héros, de l’originalité du traitement et surtout de la crédibilité du « secret » dévoilé.
Soumis par Bruno Peeters le sam, 05/04/2014 - 07:17
Déjà parue dans l’anthologie Les meilleurs récits de Wonder Stories (J’ai lu) et dans le recueil L’île inconnue (Néo), cette novella est l’un des plus longs textes du Maître d’Auburn. La majeure partie des contes et récits fantastiques de Clark Ashton Smith (1893-1961) date des années 1920-1935. Il s’y révèle un puissant créateur d’univers, délaissant l’intrigue stricte au profit de la description et de l’évocation de mondes perdus ou parallèles. Tout baigne dans une atmosphère glauque et déliquescente, dans une odeur de pourriture et de mort.
Soumis par Véronique De Laet le ven, 04/04/2014 - 07:41
Ou quand une dessinatrice de BD, Aurélie Aurita, intègre le Lycée Autogéré de Paris, dit LAP (non pas L.A.P. ! LAP, en onomatopée) pendant une année et porte un regard critique et tendre à la fois sur ce type d’enseignement très particulier : pas d’obligation de présence aux cours, sélection par tests et entretien de motivation pour les quelques dizaines de nouveaux à chaque rentrée, élèves qui s’occupent de l’entretien, profs de la gestion administrative etc.
Soumis par Marc Van Buggenhout le jeu, 03/04/2014 - 07:16
Deux ans de patience auront été nécessaires pour lire la fin de cette trilogie. Deux ans pendant lesquels Véronique Biefnot a revu entièrement son manuscrit pour finalement nous proposer une histoire qui clôture en beauté cette trilogie qui tient à la fois du thriller et de la romance.
Soumis par Chris de Savoie le mer, 02/04/2014 - 21:11
Le monde des humains s’agite devant le phénomène de la Technole. Des objets futuristes surgis du passé (radios, revolvers…) se multiplient et colonisent peu à peu le monde du Dessus. Obicion l’officieur, lui, doit enquêter sur l’étrange meurtre de la fille d’Ando, un puissant du monde de l’En-Dessous. L’enquête piétine car personne ne se montre coopératif et les retombées politiques sont importantes. Obicion a pourtant le sentiment que sa vie ne tient qu’à un fil.
Soumis par Equipe Phenix le mer, 02/04/2014 - 07:43
« … je la voyais me traquer comme une bête sauvage, son flingue pointé devant elle. Elle ignorait où je me cachais et encore plus que je la suivais du regard. »
Soumis par Véronique De Laet le mar, 01/04/2014 - 07:42
Kennedy a 17 ans quand sa mère est tuée par un démon qui la pourchasse… elle ou sa mère, car Kennedy a en héritage une fonction (dont elle ignorait tout !) de « légionnaire » anti-démon.
Ce sont deux frères, les jumeaux Jared et Lukas, qui la sauvent de la maison en furie et lui apprennent qui elle est… ce dont elle doute, mais tout concorde, y compris cette foutue mémoire hypertrophiée des images, une forme de calamité pour Kennedy mais qui semble être un don.
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