Soumis par Stéphane Croenne le mar, 06/01/2015 - 08:00
Le roman gravite autour du destin très accidenté de Daryl Leyland,et de son acolyte Van Doren, qui vont compiler, reprendre et illustrer les Contes de ma mère l'oie, projet qui constituera l'oeuvre de leur vie. La porte d'entrée de ce parcours, c'est l'enquête menée par Jack Sawyer, embauché par la Warner pour filtrer la bio de Leyland en vue d'une adaptation pour le grand écran.
Soumis par Chris de Savoie le dim, 04/01/2015 - 22:00
Jalan est l’un des nombreux petits-fils de la Reine Rouge et il profite de son statut pour jouir de tous les plaisirs de la vie. Alcool, femmes, jeux, Jalan mène une existence d’oisif dont le seul danger réside dans les dettes qu’il accumule. Malgré son statut, le prince peine à rembourser ses ardoises, ce qui lui a valu des mésaventures douloureuses. Le jeune homme est pourtant bien décidé à vieillir de la même façon.
Soumis par Véronique De Laet le dim, 04/01/2015 - 22:00
Endgame n’est pas qu’un livre, c’est un livre-concept. C’est aussi pour cela que le résumé ne peut pas être fort long.
L’idée : des extraterrestres ont créé le monde, l’ont peuplé et lui ont donné de quoi progresser. Les 12 tribus du départ ont depuis entretenu un Joueur, âgé de 12 à 20 ans, un ado hyper-entrainé qui peut être appelé à participer au jeu final (Endgame) aux termes duquel une seule tribu sera sauvée. Pour cela tout les coups sont permis, un seul survivant (Tiens, là ça me rappelle cruellement Hunger Games).
Soumis par Georges Bormand le dim, 04/01/2015 - 22:00
Dans ce récit d'un futur qu'on peut qualifier de dystopique, le narrateur, ami et souvent associé au héros dans ses aventures, nous narre comment Julian Comstock, neveu d'un président des États-Unis d'Amérique, va s'opposer à son oncle et, quand celui-ci aura suffisamment irrité ses partisans pour que ceux-ci le renversent, lui succéder. Mais, dans ce futur où l'Amérique est sous la coupe de l'Église du Dominion, qui soumet le pays à une discipline conservatrice et bornée, Julian rêve de libérer la pensée et l'innovation. Il méritera bien son surnom d'Apostat.
Soumis par Johanna Almos le dim, 04/01/2015 - 20:20
Neil Gaiman aime à écrire sur l'enfance, sa magie et ses terreurs. Des ouvrages tels que Coraline ou L'étrange vie de Nobody Owens ont déjà montré de la prédilection de Gaiman pour cette période de la vie où tout n'est que rêves et fantasmes.
L'Océan au bout du chemin, paru au Diable Vauvert en octobre 2014 alors que l'auteur s'apprête à fêter son cinquante-quatrième anniversaire, est plus que tout un récit sur l'âge tendre. C'est un roman initiatique autant que fantastique.
Soumis par Georges Bormand le dim, 04/01/2015 - 20:00
Soumis par Sylvain Bonnet le mer, 24/12/2014 - 06:04
Les hauts et les bas de Dan Simmons
Soumis par Véronique De Laet le mer, 24/12/2014 - 06:02
Aïe, un tome 2, ma hantise… Même quand j’ai lu le premier, dans 80% des cas, c’est un peu le ventre mou de la trilogie, celle où on avance moins, la passerelle vers le tome final. Ici, il s’agit plus d’un descriptif long et lent du chemin des héros, séparés en deux groupes, jusqu’à leur arrivée à la ville principale et à « La Lueur », le leader despotique. On n’apprend pas grand-chose, on attend vraiment que l’histoire reparte.
C’est à mi-volume que l’action reprend la main et permet de finir d’une manière qui donne envie de lire le dernier tome.
Soumis par Sylvain Lamur le dim, 21/12/2014 - 20:02
Dans un futur lointain (en 2480), ne restent plus du monde que les ruines encore fumantes d'une planète ravagée par une guerre nucléaire. Quelques villes, cependant, parviennent à sortir du lot et s'y rassemble, en un semblant de société féodale, la foule des miséreux du monde, dirigés par la poigne de fer de groupuscules avides de richesses et de pouvoir. Parmi elles, Atro City, la plus évoluée, la plus grande, dirigée par le terrible André Auguste.
Soumis par Bruno Peeters le ven, 19/12/2014 - 20:06
Anthologie établie par l'association de jeux de rôles ForgeSonges, qui, s'intéressant à l'écriture, lança un concours « Plumes en Herbe » en 2008. En voici la deuxième édition, sur le thème « On a marché sur... ».
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