Critiques

L’auteur : Né en 1975 en Grande-Bretagne, Andrew Michael Hurley vit actuellement dans le Lancashire. Professeur de littérature anglaise, son premier roman Les mortes-eaux (The Loney) a été publié à 300 exemplaires par une petite maison d’édition avant d’être repéré et salué comme étant un « chef d’œuvre gothique ». Il a remporté le prestigieux prix Costa Award et sera prochainement adapté au cinéma par Danny Boyle.  

Une enquête mi-fée mi-humain sur une terrible machination machiavélique. Du rythme, de l’humour, du plaisir.

Je ne dirais pas que c’est nul et archi nul, mais je ne vois pas ou je n’ai pas vu la ou les démarches de l’auteur. Ni de l’éditeur. Le scénario est pour moi hors sujet. Complètement à côté de tout ce que nous chérissons.  Je peux vous classer ce roman dans tous les genres que vous voudrez, mais loin de moi l’idée de le ranger dans la SF ou le Fantastique. Pire, l’horreur.

Nouvelle anthologie de Marc Bailly consacrée aux machines qui prennent de plus en plus de place dans notre existence. Machines intelligentes, machines dénuées d’émotions. Ce n’est pas aussi simple que cela. Elles font parfois preuve de plus de clairvoyance que nous, cachent parfois des sentiments similaires à ceux des humains. Elles peuvent être les meilleures amise du monde ou les pires ennemies que la Terre a engendrées.

Il faut d’abord s’arrêter sur l’intéressant éditorial du rédac’ chef, François Manson, qui s’interroge sur le succès de la fantasy, puis du steampunk, au détriment de la science-fiction : s’agirait-il de tourner le dos à notre réalité, et à ses difficultés ? Heureusement, certains auteurs de SF empruntent une voie plus optimiste, tels Alastair Reynolds ou... David Brin.

Ce recueil s’adresse, essentiellement, à ceux qui ont lu les deux séries de Tad Williams, Autremonde et L’arcane des épées.

Grand classique de la littérature enfantine, adapté à l’écran, revoici une version Folio Junior destinée aux jeunes à partir de 9 ans...   Abondamment illustrée et en 7 volumes, nous y retrouvons Polly et Digory, les deux jeunes voisins qui s’ennuient à Londres. L’oncle de Digory oblige Polly à utiliser une bague de sa création : la petite disparait. Puis oncle Andrew oblige Digory à prendre la seconde pour aller sauver son amie Polly. C’est ainsi qu’ils découvrent un monde de verdure et de paix puis celui d’une sorcière qui arrive à les accompagner à leur insu et à venir à Londres.

Au commencement de ce livre, rien moins que le commencement du monde, tel qu’un scribe de l’irrationnel en témoignerait, contemporain de l’éclosion de toute chose grâce aux forces d’un vaste esprit cosmique. Et Jonathan Black de dérouler la trame chronologique de l’Histoire sous ce point de vue strictement idéaliste.

Nouvelles impressionnantes par leur qualité.

Durant le mois de février, j’ai terminé le premier tome des Els, une lecture que je traînais depuis des mois. Non pas que j’ai détesté ce livre, je l’ai même plutôt bien aimé. Ce n’est pas un coup de cœur, mais la lecture reste agréable et plaisante. J’avoue que j’ai eu du mal à m’extirper du début lent de cette histoire... Je remercie beaucoup Phénix-Web, ainsi que les Éditions J’ai Lu pour cette belle découverte !