BERROUKA Karim

Jour où l’humanité a niqué la fantasy (Le)

Comme Fréderic Brown ou R. A. Lafferty avant lui avec la SF, Karim Berrouka s’attaque à parodier la fantasy. Et comme les martiens de Brown, ses personnages de fantasy s’attaquent à notre monde réel. Eux, c’est parce que, vivant dans l’Affre-Monde, ils ne supportent pas les représentations de ce monde que publient les éditeurs du nôtre. Et, par attaques successives, des lutins, des fées, etc. vont s’en prendre aux bibliothèques, au festival des Imaginales, et à d’autres endroits pour exiger des représentations conformes à leur réalité.

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Celle qui n'avait pas peur de Cthulhu

Qu'est-ce qui est vert, pèse 120 000 tonnes, pue la vase, n'a pas vu le ciel bleu depuis quarante siècles et s'apprête à dévaster le monde ? Ingrid n'en a aucune idée. Et elle s'en fout. Autant dire que lorsque des hurluberlus lui annoncent qu'elle est le Centre du pentacle et que la résurrection de Cthulhu est proche, ça la laisse de marbre. Jusqu'à ce que les entités cosmiques frappent à sa porte...  

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Fées, weed et guillotines

Une enquête mi-fée mi-humain sur une terrible machination machiavélique. Du rythme, de l’humour, du plaisir.

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Club des punks contre l’apocalypse zombie (Le)

Ce roman qui mélange donc punkitude et zombies est une pure fantaisie qui nous raconte les aventures invraisemblables et miraculeuse de sept punks (et trois chiens) qui partageaient un squat sur la colline de Ménilmontant. Squat qui, lorsqu’une épidémie de zombification va ravager le monde, se transformera en l’unique forteresse inaccessible aux zombies, ou presque.

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Club des punks contre l'apocalypse zombie (Le)

« Lève-toi et joue du punk ! », ou l'excellente version revisitée d'une invasion de zombies.

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Fées, weed et guillotines

La fée « Les cheveux châtains de la femme sont enroulés sur chaque tempe, façon bretzel. On dirait une copie approximative de la princesse Leïa. De laquelle elle tient aussi quelques rondeurs… Toutefois, son regard ne brille pas de cette ingénuité un peu fadasse qui a fait le succès de la célèbre égérie lumineuse de la Force. Un véritable feu anime ses pupilles, deux fournaises émeraude qui rehaussent le teint excessivement pâle de sa peau. Le visage, sous cette apparente candeur, ne cède à aucun des canons de la beauté hollywoodienne, pas plus que sa démarche, furieuse mais féline. »  

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Ballons dirigeables rêvent-ils de poupées gonflables ? (Les)

Conformément aux instructions données par Alphonse Allais dans la préface du Parapluie de l’Escouade, ce livre ne comporte aucune histoire d’aérostiers, ni mentions de l’emploi de sextoys primitifs en caoutchouc. Mais cela ne l’empêche pas de contenir un certain nombre d’idées originales, qu’il serait dommage de déflorer. Avec une allusion au clone de Cloclo, que j’ai moi aussi rencontré dans le RER A à l’époque où il le hantait, et d’autres aux djinns, aux nains entasseurs d’or, au Haricot Géant de Jack, etc.

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Cyclones

Pour échapper à sa morne vie, Georges a accepté de se multiplier et de devenir six, par le biais d’un clonage scientifique. Il sera ainsi plus fort, plus intelligent : un être supérieur. Mais sa multiplication peut aussi bien le diviser et n’en faire qu’une fraction de lui-même qui se cherche.   Cyclones est l’histoire d’un homme qui s’affronte à travers ses cinq clones et d’un auteur qui interroge sur la nature humaine et la folie. Le récit est sombre et le héros, peu héroïque, doute et hésite, indécis. Cyclones est bien construit et les quelques touches d’humour sont grinçantes.

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Porte (La)

Premier et Deuxième Loup-Garou habitent une petite maison au milieu du désert. Là, ils s’adonnent à la réflexion contemplative, à la discussion métaphysique, à la dialectique lyrique. Le tout entrecoupé de chasse au missionnaire, nourriture abondante et parfois savoureuse. Cette routine est un soir mise à mal lorsque quelqu’un frappe à la porte. Trois magnifiques femmes demandent l’hospitalité. Les deux Loups-Garous acceptent avec grâce même si le lendemain, ils sont fort désappointés de ne pas trouver traces de leurs visiteuses, parties sans même laisser un mot de remerciement.

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