SILVERBERG Robert

Traverser la ville

Dans un avenir où les conurbations couvrent sinon le monde, au moins le pays imaginé et où chaque quartier est devenu une société totalement séparée des autres, avec des contacts limités, le héros se voit obligé de se rendre dans d’autres quartiers parce que sa « femme-du-mois » a saboté l’ordinateur de son quartier et qu’il doit en retrouver le logiciel de base...  

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Porte des mondes (La)

Une histoire plus rocambolesque qu’uchronique, plaisante sans jamais atteindre les sommets.

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A voté - Traverser la ville

Les dyschroniques des Éditions « Le passager clandestin » poursuivent leurs parutions de nouvelles américaines exemplaires, de l'Âge d'or ou non. Celle d'Asimov, A voté, en ressort, bien sûr (1955). C'est le temps de Multivac, qui vote pour vous. En fait, cet ordinateur « réussit à estimer, d'après un nombre de votes de plus en plus restreint, quel serait le résultat de l'élection ». Asimov conduit l'idée jusqu'à l'extrême, ce qui constitue une des caractéristiques de la pensée SF. Un petit bijou d'humour féroce.

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Gilgamesh Roi d'Ourouk

Une excellente version de la légende d'un roi devenu légende, bien servie par un très bel ouvrage proposé par les éditions L'Atalante.

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Glissement vers le bleu

Le grand Silverberg aime introduire ses textes, les expliquer, rappeler leur origine. Rappelons-nous l'intégrale de ses nouvelles, publiée en français chez Flammarion puis chez J'ai Lu. Chacune était précédée d'un petit commentaire de l'auteur, ce qui ne faisait qu'ajouter à son intérêt.  

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Jusqu'aux portes de la vie

Comme ne le rappelle pas la préface de Gérard Klein, qui cite les autres sources de ce roman, Robert Silverberg a écrit deux nouvelles pour un « univers partagé », celui des « Heroes in Hell », géré par Janet Morris sur la base du roman de Carolyn J. Cherryh Les Légions de l’Enfer. Gérard a parfaitement raison de rappeler que la fascination de Silverberg pour Gilgamesh est antérieure à ces deux nouvelles, puisque le roman de Silverberg, Gilgamesh Roi d’Ourouk, leur est antérieur.

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Dernier chant d'Orphée (Le)

Vestiges de l'automne (Les)

Il s’agit, en une novella achevée et un projet de roman, de la conclusion de la « trilogie » inachevée du Nouveau Printemps (La Fin de l’Hiver, La Reine du Printemps). Le projet de roman est présenté en bilingue (traduction d’abord, texte original ensuite pour les puristes).

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Vestiges de l'automne (Les)

  En 1989, le lecteur francophone découvrait avec fascination A la fin de l’hiver, puis, l’année suivante, La Reine du printemps, les deux premiers volumes de ce qui allait devenir une trilogie, la plus vaste entreprise de l’auteur depuis le Cycle de Majipoor. Las, le troisième livre ne parut pas, à la plus grande consternation des amateurs du Maître.

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Vestiges de l'automne (Les)

Je ne présente plus vraiment Robert Silverberg, un auteur de science-fiction à qui on doit « Les monades urbaines », « L’homme dans le labyrinthe » ou « Le château de lord Valentin » qui donnera lieu à un cycle sur Majipoor. J’ajouterai à ces quelques livres, l’intégrale des nouvelles en quatre volumes. C’est un auteur très prolifique qui a été récompensé par plusieurs prix (Hugo, Nebula, Locus). Personnellement j’ai découvert Silverberg avec « Le château de lord Valentin ».

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