Littérature

Après le roman très surprenant « Le liseur du 6h27 »  qui a eu bien plus qu’un succès d’estime (60.000 exemplaires vendus, une adaptation cinéma en cours, des traductions dans 26 pays, quel palmarès pour un tout premier roman !), Jean-Paul Didierlaurent nous revient avec un bref tome de nouvelles.   Ces nouvelles ont toutes quelques points communs dans le style : une belle écriture simple et efficace, une apparence de banalité et en particulier, un moment où tout bascule dans l’inattendu complet !

A la mort de leur mère, Rio et Bay, jumelles de 18 ans, se retrouvent seules dans la cité sous-marine d’Atlantia. Il y a fort fort longtemps, la planète était si polluée qu’une ville a été construite sous la mer, puis d’autres cités pour accueillir les humains. Chaque famille envoyait un de leurs enfants « là-haut » pour produire ce qui n’était pas disponible en bas et échanger cela contre les minerais des profondeurs.

Bonjour... Pourrais-tu te présenter à nos lecteurs ? Bonjour, je suis Renaud Benoist, je suis né en banlieue parisienne, à Epinay-sur-Seine, et j’ai fait les Beaux Arts de Saint-Etienne. J’ai écrit mon premier livre qui était un recueil de nouvelles en 1996. Depuis j’ai écrit 6 autres ouvrages (nouvelles, une trilogie romanesque et deux livres d’enquêtes). J’ai aussi écrit une comédie musicale, ‘Le Fanten Lupo’, ainsi que plusieurs scénarios de courts métrages.   Petite question toute simple : pourquoi l'écriture ?

Jal est un déserteur. Accompagné de deux compères, il tente d'échapper à la folie du champs de bataille. Poursuivis par des soldats, leur fuite les emporte vers une vallée encore épargnée. Jal est accueilli par la petite communauté paysanne mais il veut repartir avant que l'armée régulière ne vienne raser ce havre de paix. Etrangement, sa conscience le pousse à rester. Le jeune homme commence alors à faire de singuliers cauchemars où un homme masqué le hante…