Littérature

Un marchand d’art, Edmond Cartairs, se croit menacé par un bandit américain venu sur le sol anglais afin de le tuer. Il engage Holmes. Mais alors qu’Holmes semble avoir trouvé une piste, le voleur est assassiné et les petits enfants des rues qui aident notre détective disparaissent ou meurent. Pour remonter vers la source, Holmes se retrouve hors de la ville dans un hospice pour orphelins, sur la piste d’une maison de soie à la réputation sulfureuse et fort bien protégée, même en hauts lieux.

Gustave Flicman, jeune policier, est chargé de découvrir qui vole les pizzas. Le voilà embarqué dans une enquête qui implique des lutins tandis que la police arrête un pauvre SDF parce qu’il a une enclume et un chapeau vert pointu. C’est ainsi que Gustave va découvrir l’Université d’Onirie et un professeur en lutinologie… J’adore ! J’adore le côté loufoque, l’humour à divers degrés… Déjà, ayant interviewé Renaud Marhic, je retrouve son côté un peu anti-société de consommation, avec l’apparition invasive mais moqueuse de la pub partout. Même si on ne l’y attendait pas, à ce tournant…

Budo est l’ami imaginaire de Max, environ 8 ans. Budo n’existe donc que pour Max et les autres amis imaginaires, ceux que les enfants créent et auxquels ils croient tant qu’ils n’ont pas trop grandi… L’avenir de Budo est donc de disparaitre mais il peut encore choisir comment : la vie fera qu’il aura le choix d’exister pour longtemps ou de vivre ce que vit tout ami imaginaire – l’effacement. Il se fera aider par d’autres amis imaginaires pour réussir à sauver Max de son enfermement, de le faire grandir.

  8 récits sur ou autour d’une mort, 4 auteurs : Lilian Bathelot (L’œil du loup et Tatoo cœur), Charlotte Bousquet (les fantômes de Saint-James et Obsession), Martial Caroff (Le maître des pierres, Agora game) et Béatrice Egémar (Les demoiselles de Saint-Cyr et Meurtre à la maison de vie). Pourquoi ? Je n’en sais rien mais j’ai eu des difficultés à lire ce recueil. Non qu’il soit mal écrit ou inintéressant, mais simplement parce que je savais qu’il y aurait un mort ou que l’histoire finirait par la mort. C’était comme me retirer une part de l’imagination, comme diriger ma lecture.