JOB Armel

JOB Armel 01

À propos d’Une femme que j’aimais, Robert Laffont, février 2018

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Une femme que j’aimais

Quand on lit Armel Job, c’est la Belgique qu’on lit, la Belgique du sud : la Wallonie. On y retrouve les mêmes goûts, les mêmes odeurs. La Wallonie d’avant. Avec ses maisons au trottoir balayé, ses vieux assis sur le pas de la porte, les salons trop meublés, les étagères remplies de bibelots et de souvenirs.

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Helena Vannek

Entre deux guerres, dans un petit village flamand, la vie est rude.

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En son absence

Mars 2005. Il fait très beau ce matin-là dans le petit village de Montange, au cœur des Ardennes belges. Comme un air de printemps en avance. Bénédicte, quinze ans, revient même sur ses pas pour changer sa doudoune d’hiver contre une veste légère. Un jour plus froid, sans doute aurait-elle marché plus vite pour aller attraper le bus qui, chaque matin, la conduit au lycée dans la ville voisine. Là, non, elle s’attarde, prend le chemin des écoliers... Bénédicte ne montera jamais dans le bus. Où est-elle passée ? Que lui est-il arrivé ? Commencent quatre jours d’une insupportable angoisse.  

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De regrettables incidents

Pure comme le cristal et belle à faire damner un saint, Olga mène, auprès de sa famille d'origine kazakhe, une vie sans histoire dans une petite commune de Belgique. Jusqu'au jour où le directeur du théâtre de la ville vient proposer à son père de l'engager. En dépit de ses réticences, celui-ci finit par accepter.  

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