Talulla
Jack est mort mais Talulla lui a survécu, et elle n’est pas seule. Elle porte l’enfant né de leur amour et, pour ne pas risquer d’être attaquée par la Chasse, elle s’est réfugiée dans une maison isolée. Malgré toutes ses précautions, Talulla ne peut empêcher des inconnus de lui enlever son fils au moment de la naissance. Commence alors pour elle une longue quête pour retrouver son enfant… s’il n’est pas déjà trop tard.
Les récits de Glen Duncan sont efficaces et l’auteur décrit les scènes avec précision et neutralité, ce qui leur évitent d’être insupportables tout en étant beaucoup plus efficaces. Le rythme est soutenu même si quelques développement sont un peu répétitifs. L’intrigue mêle bien évidemment garous, chasseurs et vampires. Si la trame apparaît simple au premier abord, le récit réserve quelques surprises qui relancent l’intérêt de l’aventure.
Un bon récit, peut-être moins dense que le premier volume, mais qui reste d’une lecture agréable.
Talulla de Glen Duncan, traduit par Michelle Charrier, illustré par Jim Cumming et Joerg Buschmann, aux éditions Denoël