Soumis par Georges Bormand le dim, 15/01/2023 - 06:00
Sur un Mars tel que l’imaginaient encore les romans du vingtième siècle, avec des indigènes qui survivent autour des canaux érigés par leurs ancêtres, les colons venus de la Terre survivent tant bien que mal. Jack Bohlen est un réparateur d’engins électroniques et son voisin Otto Steiner a un fils, Manfred, autiste élevé dans un camp.
Soumis par Michael Fenris le mar, 12/07/2022 - 06:00
Nous sommes en 1992 à San Francisco, et non en 2019 à Los Angeles. Rick Deckard est un chasseur de primes qui traque non pas les répliquants, mais des androïdes Nexus 6 destinés à servir les humains dans toutes les tâches y compris les plus ingrates. La fondation qui les fabrique s’appelle Rosen, et non Tyrell. Deckard ne vit pas seul, mais avec sa femme, Iran, dans un immeuble en partie abandonné. La Terre a été dévastée par une guerre nucléaire, tous ceux qui ont pu fuir se sont installés dans les colonies comme Mars.
Soumis par Chris de Savoie le mer, 04/05/2022 - 06:00
Une nouvelle traduction agrémentée d’une postface et du début de la suite inachevée. Un excellent roman, incontournable, qui mêle uchronie et univers parallèle.
Soumis par Georges Bormand le mar, 29/03/2022 - 06:00
Les nouvelles que présentent les deux recueils qui viennent de reparaître chez Folio SF, Le dernier des maîtres et Immunité, sont presque toutes des nouvelles des tout débuts de Dick, entre 1952 et 1956. Elles présentent déjà certains thèmes des textes ultérieurs, comme la création d’une fausse réalité, les risques de machines indépendantes, les dystopies possibles, en particulier post-catastrophe, post-guerre nucléaire, ou post-conquête spatiale...
Soumis par Chris de Savoie le jeu, 10/03/2022 - 06:00
Affronter les psis n’est pas donné à tout le monde mais l’agence Runciter & Associés est la meilleure. Sera-ce suffisant ? Réponse dans ce classique incontournable.
Soumis par Georges Bormand le lun, 21/02/2022 - 06:00
« Cadavre exquis » entre Dick et Zelazny, où le lecteur peut s’amuser à essayer d’attribuer chaque passage à l’un ou l’autre des auteurs, ce roman raconte la quête de Tobie McMasters, un peintre « incomplet », sans bras ni jambes, mais pourvu d’extensions mécaniques, à travers un bout des États-Unis d’après la guerre atomique, à la recherche de Carleton Luftheufel, le responsable de la guerre, qu’une nouvelle religion a déclaré le Dieu de Colère. Il rencontrera dans sa quête machines détraquées, mutants, chrétiens et adorateurs du Dieu de Colère...
Soumis par Michael Fenris le jeu, 03/02/2022 - 06:00
Lorsque Philip K. Dick publie en 1962 Le maître du Haut-Château, il fait paraître son premier succès littéraire et une référence dans le genre uchronique. Partant du principe que les alliés ont perdu la guerre face à la coalition Allemagne-Japon-Italie, il imagine les États-Unis partagés entre les vainqueurs. L’Ouest appartient aux Japonais, l’Est aux Allemands, avec une zone neutre dans les Rocheuses.
Soumis par Georges Bormand le lun, 16/11/2015 - 06:00
Le premier roman est un texte considéré comme mineur dans lequel transparaissent nombre de ses obsessions, en particulier le sentiment d’échec permanent et son incapacité à communiquer avec les femmes, et était déjà paru chez Pocket. Le second, qui reprend le lieu de l’action et le personnage du Glimmung, mais de façon bien différente, semble un ajout récent au corpus de l’œuvre de Dick, et n’a été traduit qu’en 2013.
Soumis par Georges Bormand le lun, 24/11/2014 - 00:00
Au départ, on croit à une situation simple, où la guerre avec les Vugs, habitants de Titan, serait cause de la dépopulation et de l'allongement des vies des terriens. Depuis l'armistice avec les Vugs, les terriens ont un système néo-féodal séparant la population entre Possédants, seuls autorisés à participer au jeu qui a remplacé la politique par des parties de Bluff, sorte de poker-monopoly, et non-Possédants, au service des Possédants.
Soumis par Georges Bormand le dim, 05/10/2014 - 00:00
Sur Mars où l'ONU a installé et entretient un certain nombre de colonies qui parviennent à survivre péniblement grâce à l'eau des canaux, Jack Bohlen, ancien schizophrène, est réparateur. Manfred, le fils de ses voisins est, lui, autiste, dans un camp. Les circonstances font qu'Arnie Kott, potentat local, convaincu que la schizophrénie et l'autisme sont des formes de perception du futur, va demander à Jack de trouver le moyen de communiquer avec Manfred, afin de profiter de prédictions. Mais il a mal compris dans quoi il se lance...
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