Lion à Moscou (un)

Quand un étudiant en philosophie se prend de passion pour la langue russe et obtient une bourse pour suivre un mois de cours à Moscou, le récit de son séjour devient ce petit livre. Les chapitres sont courts et thématiques. Ils sont surtout truffés de références littéraires, russes bien sûr, mais aussi internationales, d’allusions au fantastique, de personnages historiques. Parfois, c’est clairement énoncé, parfois, une petite lampe s’allume dans notre tête, et on file sur le net chercher ce qui ressemble à un vague souvenir.

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13 jours

Aïe ! encore un livre tue-sommeil, 2 jours pour plus de 500 pages, encore un polar rudement efficace et mené d’une main de maitre, même si dans sa structure, un peu comme « Colombo », on connait le coupable 150 pages avant la fin et le jeu final est surtout de comprendre le « pourquoi » et le « comment » et non le « qui ». Comme je n’ai eu qu’une copie spéciale journalistes (non corrigée, couverture blanche), j’ai seulement découvert le résumé en le cherchant pour la chronique. Il dit tout et il ne dévoile rien, donc je ne vais pas en faire un moi-même, lisez-donc :

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Poupées

Elle avait été créée pour donner du plaisir aux hommes, mais tout ne se passa pas comme prévu. Laissant derrière elle une traînée sanglante, elle devint alors une poupée tueuse. Et puis, peu à peu, l’incroyable vérité lui apparut et elle ne fut plus qu’une poupée cassée. Seulement, il faut toujours se méfier des poupées. * Poupées de Jean Mazarin aux éditions Rivière Blanche est en fait la réédition retravaillée et en un seul volume de deux romans parus initialement aux éditions Fleuve Noir dans la collection Anticipation : Poupée cassée et Poupée tueuse.

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Usine à nu (L')

Bayle est un riche industriel qui a fait fortune dans l’élevage de poulets. Sa vie suit une agréable monotonie, jusqu’au jour où sa servante est absente. Bayle décide alors de descendre dans sa cave… Yan Marchand plonge son héros dans un monde fantastique, qui n’a ni explication rationnelle ni fonctionnement logiquement établi. C’est un univers sombre, inquiétant, dans lequel le personnage subit une transformation totale, physique et psychologique.

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Liseur du 6h27 (Le)

Premier roman d’un novelliste, Jean-Paul Didierlaurent, voilà un livre un peu ovni. D’abord, son histoire pourrait sembler très banale : un homme solitaire travaille dans une entreprise qui pilonne des livres invendus. Chaque soir, il prend quelques pages qui se sont collées sur les bords de l’engin qu’il nettoie. Chaque matin, il lit ces pages dans le RER, pages volantes et isolées. Ses lectures ont beaucoup de succès au point que deux retraitées prennent le RER rien que pour l’écouter.

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N'éteins pas la lumière

Christine Steinmeyer croyait que la missive trouvée le soir de Noël dans sa boîte aux lettres ne lui était pas destinée. Mais l’homme qui l’interpelle en direct à la radio, dans son émission, semble persuadé du contraire... Bientôt, les incidents se multiplient, comme si quelqu’un avait pris le contrôle de son existence. Tout ce qui faisait tenir Christine debout s effondre. Avant que l’horreur fasse irruption.

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Maître bonsaï (Le)

Toute la nuance est dans l’absence de liaison entre « maitre » et « bonzai ». Notre héros n’est pas spécialisé ès bonzaïs, en bonzaïs, il EST un bonzaï. Il a refusé de vivre et de grandir, contraint par son passé qu’il a effacé pour devenir, sans le comprendre, plus un végétal qu’un animal. Mais tout est question d’équilibre comme il le dit lui-même. Et quand le déséquilibre s’incarne dans une jeune fille mi-agressive mi-folle qui débarque dans votre magasin, y met le bordel physiquement, déboule dans votre vie, dans votre tête… tout reste affaire d’équilibre.

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Pixel noir

Pixel est un jeune homme, un ado solitaire, fils d’une des plus grandes spécialistes de la programmation, une femme qui ne vit que dans le virtuel et néglige tout le réel. Au point de donner ce prénom original à son fils et laisser dans chacune de ses créations, une porte de sortie (backdoor) sous la forme d’un pixel noir.

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Mesure de la dérive (La)

Jacqueline est Africaine, elle ère sur les plages grecques, en provenant indirecte de son pays, le Libéria. Elle squatte des grottes, des maisons en construction, masse des pieds de touristes pour s’offrir à manger. Elle dérive, au bruit des vagues et de la voix de sa mère, pourtant décédée.

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Meurtre à la sauce cajun

Jodi Taylor, vedette de la télévision, charge le détective privé Elvis Cole de retrouver ses véritables parents qu’elle n’a jamais connus. En Louisiane, Elvis découvre que quelqu’un fait chanter non seulement Jodi, mais aussi le shérif local. La première parce que son père était noir, le second... parce qu’il vit actuellement avec la mère (blanche) de Jodi. Le maître-chanteur est un odieux personnage qui rappelle les vendeurs d’esclaves des pires heures du Sud des États-Unis. Elvis Cole aura bien besoin de l’aide d’une très charmante avocate pour lever le voile sur trente-six ans de secret… *

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