LAUZON Daniel

Retour du roi (Le), Le seigneur des anneaux T3

Que dire... Et bien, c’est le dernier tome de la trilogie... Je le redécouvre avec une petite saveur de nostalgie car je connais déjà la fin... Certains noms dus à cette nouvelle traduction m’ont un peu déstabilisée, comme Silvebarbe qui devient Barbebois, ou Frodon qui devient Frodo, mais rien d’insurmontable. Je ne vais pas revenir sur l’histoire des personnages, nous la connaissons par les livres et/ou les films. Comparer les deux versions de traductions n’est pas à ma portée car la première a été lue, il y a quelques années...

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Fraternité de l’anneau (La), Le seigneur des anneaux T1

Le seigneur des anneaux a révolutionné la fantasy lors de sa sortie dans les années cinquante et, depuis la trilogie cinématographique, sa renommée mondiale rend superflue toute présentation de l’histoire. L’intérêt de cette nouvelle parution réside dans la nouvelle traduction proposée plus de quarante ans après la précédente. Cette traduction, que tout le monde connaît, a été critiquée à de très nombreuses reprises pour ses imprécisions, voire ses erreurs. C’est dire si ce texte, dû à Daniel Lauzon, était attendu.

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Etymologies (Les)

Le dernier opus consacré à J.R.R. Tolkien qui est sorti chez Christian Bourgois est une oeuvre unique qui n’existe que pour le lecteur français. Les étymologies proposent un recueil établi par Christopher Tolkien, reprenant les entrées linguistiques qui ont permis de mettre en place les langues elfiques. Cet aspect de l’univers du Seigneur des Anneaux est fondamental car l’auteur y a consacré nombre d’heures et d’efforts afin de faire aboutir sa passion pour les langues.

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Route perdue (La)

Suite à une discussion avec C.S. Lewis, Tolkien s’est engagé à écrire une histoire sur le voyage dans le temps. Il décide de prendre comme fil conducteur la réapparition de temps à autre dans l’Histoire d’un père et d’un fils dans les familles humaines. Ainsi naît la Route perdue. Ce récit inachevé présente deux partie, l’une à l’époque contemporaine, l’autre à l’époque d’Erendil. Il faut bien dire que la première partie est peu intéressante en dehors de son caractère autobiographique, Tolkien étant manifestement beaucoup plus inspiré par sa mythologie que par toute autre imaginaire.

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