HERBERT James

Fog

Alors qu’il parcourt la campagne anglaise pour le compte du ministère de l’Environnement, à la recherche de pollutions sauvages, John Holman est pris dans un séisme qui détruit la moitié du village où il se trouve et menace de l’enfouir sous terre. Miraculeusement indemne physiquement, il développe par contre, au contact d’une fumée épaisse jaunâtre qui s’échappe des entrailles de la terre, une folie et une agressivité telles qu’il doit être hospitalisé sous surveillance sévère.

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Secret de Crickley Hall (Le)

Il est ingénieur. Pour des raisons professionnelles, il doit emménager dans cette vieille et vaste demeure. Bien entendu, sa conjointe et ses deux enfants l’accompagnent. Seulement, la bâtisse, un ancien orphelinat, a des souvenirs cachés, innommables, profondément enfouis dans ses entrailles. Pour les déterrer, il sera nécessaire de sonder bien loin dans la mémoire de ses fondations. D’habitude, j’aime bien Herbert, mais cette fois, c’est long. Mais d’une longueur lassante... Quand je lis une histoire de revenants, je sens arriver les chapitres dans lesquelles où ils apparaîtront.

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Conspiration des fantômes (La)

Cet ouvrage de James Herbert constitue probablement la meilleure réussite de l’auteur depuis de nombreuses années. Ceci ne tient toutefois pas au caractère novateur de l’intrigue - une histoire de fantômes comme on en a tant lues. Rien de bien neuf de ce côté-là. Non, le succès de cette « Conspiration des Fantômes » résulte plutôt du juste équilibre trouvé par Herbert entre la confection d’une atmosphère des plus oppressantes et le déroulement d’une action menée par des personnages dotés d’une réelle épaisseur.

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Hanté

Être enquêteur de faits paranormaux n’est vraiment pas une sinécure. David l’apprendra à ses dépens. Il est envoyé dans un village anglais pittoresque et reculé d’une grande ville. Son attirail de détection de fantômes bien installé, il attend, prêt à révéler et dénoncer la supercherie. Notre héros n’est pas au bout de ses peines. Des phénomènes de plus en plus étranges le font sombrer dans un cauchemar éveillé. Sous le thème de l’arroseur arrosé, James Herbert nous emmène au travers des méandres tortueux d’un esprit qui ne veut, qui ne peut croire à ce qu’il dénonce depuis bien longtemps.

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Sanctuaire

Depuis sa trilogie des rats, Herbert ne fait que progresser. Et comme dans toute progression, il y a un bémol. Il est ici. Oh ! Rien à dire sur le style ni les enchaînements. Mais il faut avouer que le scénario, pour les initiés, est des plus prévisibles. Une fillette qui commence à voir la Vierge immaculée. Le village s’enflamme, le monde aussi du reste. On croit au miracle. La passion se déchaîne. La fillette est adulée. Tout le monde est rivé à ses moindres faits et gestes. Seulement, cette fillette si gentille et si intentionnée, elle est du côté du bien ou celui du mal ?

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Autres (Les)

Quel mot puis-je utiliser qui serait plus fort que « dévorer » quand on parle d’un roman ? Car tel a été mon comportement envers ce roman. Je l’ai littéralement dévoré. Un détective privé. Oh ! Pas de ceux que vous croyez. Par un Sherlock Holmes, ni un Hercule Poirot. Encore moins un Magnum ou un Mike Hammer. Non, celui dont je vous parle serait parfait pour jouer dans « Notre-Dame de Paris ». C’est vrai, il serait parfait en Quasimodo. Il est né bossu, a perdu un œil et boite. Ce qui ne l’empêche pas d’être un excellent détective qui a sa propre agence.

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Secret de Crickley Hall (Le)

Fog

Tout commence lors d’un tremblement de terre qui secoue sans prévenir la campagne britannique. Une faille gigantesque se creuse dans le sol et la voiture que conduit John Holman, employé par le ministère de l’Environnement pour enquêter sur les agissements douteux du ministère de la Défense, plonge dedans. Holman parvient in extremis à s’extirper de ce mauvais pas, au moment où une brume jaunâtre ressemblant au fameux « fog » anglais s’extrait peu à peu des profondeurs…

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Rats (Les)

« Les Rats », le premier roman du célèbre écrivain britannique James Herbert, originellement paru en 1973, demeure peut-être encore à ce jour son oeuvre la plus mémorable. Non pas tant d’ailleurs pour ses qualités strictement littéraires (pas de fioritures, un récit qui va droit à l’essentiel, qui ne dévie guère) que pour sa description d’un fléau apocalyptique, surgi des tréfonds londoniens, qui s’abat sur la ville avec une virulence qui n’a d’égale que le peu d’intérêt que lui portent de prime abord les membres de la classe dirigeante.

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