FOWLER Christopher

Illusionniste (L')

Je finirai par croire que pour faire un bon roman de terreur, il faut absolument qu’il contienne deux éléments bien précis : le sexe et la violence, si possible interdépendants. Cela peut poser deux types de problèmes. Le premier est que lorsque sexe et violence constituent la base unique du roman, sa seule justification, on obtient un résultat généralement d’autant plus médiocre qu’il ne cherche qu’à stimuler en nous nos instincts les plus bas. Le second cas de figure, qu’on pourrait illustrer par ce présent roman, est peut-être pire. Exempt de sexe ou de violence, que reste-t-il ?

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