Littérature blanche

Titretrier par ordre décroissant Date uid de l'auteur
Avec mon corps

La couverture pourrait passer pour racoleuse, avec ce corps nu, ces seins lourds et prometteurs mais le livre est à la fois érotique et dés-érotisé.

GEMMELL Nikky
09/04/2015 17
BABA Luc 01

Pourquoi le choix de cette période, entre Première et Seconde Guerres mondiales ?

22/02/2016 7
Baiser ou faire des films

Après le choc de La Fabrique des salauds, Chris Kraus nous revient avec un roman plein d'une fantaisie grinçante. Écrit sous la forme d'un journal posthume, un texte puissant et drôle, qui continue d'explorer ces familles hantées par les fantômes nazis, sur fond d'hommage à la Beat Generation.

KRAUS Chris
19/03/2021 123
Baisers de l’horreur (Les)

Nous sommes en 1936. La guerre se profile et donne une coloration au roman. Un roman policier comme on les aime : avec son commissaire et des collègues un peu patauds, ses nuits glacées, ses cadavres, ses rues sombres dans le centre de Bruxelles et les envies de bière des personnages. Une différence pourtant : l’arme du crime. Inhabituelle.

VALMONT Maxence
04/06/2018 114
Ballade du mauvais garçon (La)

J’ai découvert Nan Aurousseau il y a quelques temps déjà, grâce à Babelio/Masse critique et Buchet-Chastel. J’ai apprécié la plume de l’auteur, incisive, sans fioritures, avec ce qu’il faut de gouaille pour donner l’impression d’être dans un scénario de Simonin.

AUROUSSEAU Nan
12/11/2021 118
Beaux mensonges (Les)

Céleste Ibar a dû quitter Paris et la BRI, où elle a passé dix ans, après une agression d’une brutalité extrême. Encore meurtrie, portant sur son visage les stigmates de sa séquestration, elle tente de retrouver une vie sereine. À peine nommée capitaine de police à la PJ de Nantes, où elle ne se sent pas la bienvenue, on l’envoie constater le suicide d’une riche industrielle. Une affaire banale.Mais l’enquête se révèle terriblement troublante. Qui se cachait derrière la si respectable Anne Arnotte ?

DE ROANY Céline
22/05/2022 122
Bel âge pour mourir (Un)

D’un côté, il y a France, une superbe mamie d’une soixantaine d’années, qui vient de perdre son mari. France n’a qu’une passion dans la vie, la peinture. Et elle est prête à tout pour assouvir cette passion. A tout, vraiment à tout. Son mari justement est le père de Marion, qui elle-même a un petit garçon. France et Marion, malgré le lien qui les unit (papa pour l’une, maman pour l’autre) ne se connaissent pas. Marion est costumière dans le théâtre. Elle vivote grâce à ce métier et habite la maison familiale qui n’est pas toute jeune, mais qui renferme plein de souvenirs.

ABEL Barbara
29/08/2011 14
Belgiques

Troisième volume sur le sujet de la Belgitude, c’est celui qui est probablement le plus hermétique aux non-Belges mais le plus amusant pour les natifs !  

ENGEL Vncent
29/03/2018 17
Belgiques

Le second tome de cette nouvelle collection est de la plume de Luc Baba. Déjà, on y trouve cet onirisme, mélange de poésie et de rêve, signature de l’auteur.   Dans ce volume, j’ai aussi particulièrement savouré les nouvelles à caractère historique ou mettant en scène des personnages clés de la culture belge. J'épingle donc : La drache porte un nom tout à fait national, dans un décor ardennais Tintin, lettres perdues est un échange épistolaire entre Tintin et Haddock où on retrouve à la fois leurs caractères mais aussi un angle différent sur leurs aventures.

BABA Luc
19/01/2018 17
Belgiques : Dans la peau du Doudou

Une nouvelle collection chez Ker Éditions : les auteurs belges affirment leur « belgitude » et racontent leurs perceptions, leurs expériences dans le plat pays qui est aussi celui de Phénixweb.   Ce sont donc des recueils de nouvelles, comme des petits flash-backs de vie personnelle, mêlés d’imagination et de textes exploitant les « piliers » de la culture belge.  

DARTEVELLE Alain
05/12/2017 17

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