Critiques

Un train. Une journée comme une autre. Un homme oublie un cd-rom sur la banquette. Tom Bryce le ramasse et quelques heures plus tard l’installe sur son ordinateur. Sur son écran apparaît alors une scène de meurtre violent, suivie d’un e-mail menaçant. Tom vient de mettre les pieds dans un engrenage infernal. Il vient de pénétrer dans le monde des snuff-movies, ces films de meurtres ou de viols diffusés sur internet ou sur cd-rom et qui sont payés très cher par des déséquilibrés en mal de sensations fortes.

Un monde parfait Le récidiviste

Adam Serre-d’Ombre marche en quête d’une larme de dragon. Pour l’épauler, il dispose des soldats nains de Taaron. Ils sont vigoureux et combatifs. Mais le seront-ils assez pour affronter les dragons ?

Le passage D’une rive à l’autre

La Tour est de plus en plus proche… Et les embûches se multiplient ! C’est en quelques mots, le meilleur moyen de résumer ce sixième tome de la Tour Sombre, qui paraît en cette fin d’hiver, chez J’ai Lu. Après les aventures très « wild wild west » de Roland et ses amis confrontés aux loups de la Calla, les univers parallèles reprennent leur droit dans une course poursuite qui verra les aventuriers projetés, en deux groupes, en 1977 et en 1999. Chaque duo se verra alors obligé d’affronter une mission de la première importance pour la survie de la Tour…

Kain est le prisonnier de Gabriel. Peu de temps après, Cancer est capturé et enfermé dans la même cellule que le jeune héros. Un jeune héros au goût amer. Car il réalise qu’il a été dupé depuis toujours. Il n’est que le héros de pacotille d’une prophétie construite de toutes pièces pour maintenir la population au calme. Seulement, Kain a surpassé toutes les prévisions de Gabriel. Ce dernier sent que le destin de sa ville lui échappe.

C’est le premier livre d’un auteur débutant, et nonobstant l’éloge de la 4° de couv, ça se sent.

Eté 1951, Doris amène Cora, sa fille, au Waverly Hills Sonatorium. L’hôpital est réputé mondialement pour son traitement d’avant-garde de la tuberculose. Malgré les soins apportés, la maladie gagne du terrain chez Cora. La jeune fille trouve refuge dans sa conversation avec un vieux patient noir, dans l’annexe de l’hôpital. Il tient des propos étranges. Il parle de morts suspectes. Le Sonatorium serait, selon lui, l’anti-chambre de la mort !

Les éditions Bragelonne jusqu’à présent spécialisées dans la fantasy, avaient déjà depuis quelques temps enrichi leur catalogue d’une collection de SF comportant toute une nouvelle génération d’auteurs de ce genre. Et depuis la rentrée 2006, elles ont aussi développé une nouvelle collection, « L’Ombre » , qui explore les sombres chemins du fantastique et de l’horreur. C’est dans cette dernière que paraît Une Fille Comme les Autres de Jack Ketchum. Cet ouvrage, paru en 1989 aux Etats-Unis et inspiré d’un fait divers réel, est une vraie bombe dans la production habituelle de ce genre.

Diaz, le moustique espagnol, et Pancho, le moustique basque, montent à Berlin rencontrer leur cousin. A leur arrivée, ils découvrent une ville en proie à la morosité et piétinée par des statues communistes géantes. Mais un mal plus grand touche la communauté moustiquaire. Le sang humain est devenu impropre à la consommation et les moustiques tombent comme des mouches.