Critiques

Mnémos propose dans ce joli volume de retrouver les trois romans du cycle Johan Héliot : La Lune seule le sait (paru en 2000), La Lune n’est pas pour vous (2004) et La Lune vous salue bien (2007). Le premier volume voit Napoléon III s’allier à des extraterrestres pour maintenir son règne alors que des opposants, tels Jules Verne ou Victor Hugo, défendent la liberté. Malgré ces apparences loufoques, La Lune seul le sait est un très bon roman, bien construit et original.

Ce roman, paru en 1991, a donc mis 20 ans à traverser l’Atlantique. Ce qui n’est rien au regard des 2000 ans de voyage de l’Astron (mesurés en temps du vaisseau) sur lequel le jeune Moineau se réveille à l’infirmerie après avoir dévissé d’une falaise sur Sethi IV. Amnésique, il essaye de comprendre où il est, de s’adapter aux demandes contradictoires de ses compagnons de voyage, au nombre desquels quelqu’un qui a tenté et tentera de nouveau de le tuer.

Emrodes est un souverain soucieux : la guerre est aux portes de Loar. Dans moins d’une semaine, Melen utilisera sa nouvelle arme capable de détruire toute vie sur la planète. Avec ses alliés et ses conseillers, le jeune roi tente de mettre au point une parade mais personne ne maîtrise les données scientifiques nécessaires. La donne n’est pourtant pas perdue d’avance car elle comprend des joueurs inconnus des deux ennemis, mais qui vont complexifier l’issue du conflit.

Blue trimballe quand même pas mal de casseroles, assez pour lui pourir la vie ! Un père riche qui ne s’est jamais intéressé à lui, si riche en fait qu’il dirige une multinationale dans le genre du pire que vous puissiez imaginer. Des pouvoirs paranormaux de maitrise de l’électricité, qu’il s’emploie à cacher et qu’il essaie d’utiliser pour faire le bien au sein de son agence de détectives assez spéciale - chaque membre de l’agence Dirk & Steele ayant une particularité, un pouvoir.

Slàine Mac Roth est un jeune guerrier prometteur des Sessair, peuple celte vigoureux et combatif. Ses qualités font de lui un probable membre de la Branche Rouge, la troupe d’élites de la tribu. Malheureusement, Slàine a également un caractère véhément et incontrôlable, ce qui le pousse régulièrement à des excès que ses aînés ont de plus en plus de mal à lui pardonner, malgré son don.

C’est le récit du retour dans le passé d’un jeune actuel et comment il changea l’histoire de la Colombie et celle du monde. Il y a trois parties au roman :  la découverte par le héros, Simon, né en Colombie mais élevé en France, de son pays natal et, suite à la rencontre avec son père et un homme étrange, Béniño, la découverte d’un bâton d’or qui va l’envoyer dans le passé ;

Résumé de J’ai lu : L’île de Henders n’a jamais été explorée. A la vérité, elle n’a même jamais été en contact avec un quelconque écosystème étranger depuis la séparation des continents, il y a deux cents millions d’années. L’excitation qui règne parmi la quinzaine de scientifiques choisis pour aller y faire les prélèvements d’usage est grande : ils seront les premiers à contempler un monde quasi extraterrestre, où l’évolution a suivi un cours différent du reste du monde.

Merveille conclut par une fin heureuse la trilogie entamée avec Eveil et continuée avec Veille. Et si on peut lui reprocher un optimisme excessif puisque tout finit le mieux possible pour tous les protagonistes, que ce soit Webmind, la jeune Caitlin Dexter qui a aidé à son éveil, le singe Chobo ou même les assistants du programme de défense des Etats-Unis qui voulaient détruire Webmind.

C’est le récit par Benvenuto, homme de main du seigneur Ducatore, le Podestat de Ciudalia qui vient de remporter une victoire écrasante sur l’ennemi, des mésaventures qu’entraîne pour lui son service, les crimes qu’il a commis et ceux que d’autres voudraient lui faire endosser.