Critiques

Star Trek : Spock - Réflexion

Dans la foulée du film sorti en 2009, voilà une seconde bande dessinée qui vient se rajouter à l’univers Star Trek. Delcourt nous avait précédemment sorti un préquelle intéressant qui annonçait les événements du film. Cette nouvelle bande dessinée se concentre sur Spock. Elle est dessinée par David Messina et Frédérica Manfredi et scénarisée par Scott et David Tipton.

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Démons de Paris (Les)

Paris début du XXème siècle. La présidente Desnoyelle prépare l’arrivée du tsar Nicolas II qui désire visiter le métropolitain construit par Fulgence Bienvenüe. Un attentat frappe des femmes pendant leurs courses, un massacre innommable fauchant des jeunes femmes, des mères, des filles, des sœurs. L’anarchie. La mort. Le pouvoir. La quête de l’absolu.

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Succubus Dream

Georgina est toujours aussi amoureuse de Seth, l’auteur qu’elle a rencontré à sa librairie et avec lequel, elle ne peut avoir de relations intimes trop appuyées. Georgina est un succube et si elle ne tue pas Seth directement, elle lui volerait son âme, petit à petit. Ils ont trouvé une forme d’équilibre et Georgina va voler à d’autres cette énergie qui lui est vitale.

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Anges pourpres, Les rêveurs du temps T2 (Les)

772. D’un côté, les Francs avec Charlemagne, Roland et Olivier, de l’autres les Saxes, avec entre autre Albericht, l’elfe qui gardait « l’arbre de vie ». On assiste aux intrigues de cours qui suivent la mort d’un Baron de Charlemagne, Drogon, un homme brave, trahi par son frère, et qui meurt au combat. Alors que Ganelon, ce frère félon, s’empare de l’arbre de vie, les jeunes Saxes entreprennent de récupérer ce fétiche essentiel à leur foi.

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Vieil homme et la guerre (Le), Brigades fantômes (Les), Dernière colonie (La) et Zoé

Quatre romans de John Scalzi : Le vieil homme et la guerre, Les brigades fantômes, La dernière colonie et Zoé. Ce n’est pas une tétralogie à proprement parler : chaque roman peut être lu indépendamment. Toutefois, comme les trois premiers se suivent dans le temps et que certains personnages reviennent, il vaut mieux commencer par le premier, qui est aussi le meilleur. Le vieil homme et la guerre La première phrase accroche immédiatement le lecteur : « J’ai fait deux choses le jour de mes soixante-quinze ans : je suis allé sur la tombe de ma femme. Puis je me suis engagé ».

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Dreamworld

Noir, blanc, rouge. Noir comme le mal, comme l’ombre, le cauchemar, la nuit, la magie et la douleur Blanc comme les fantômes, les anges, l’albinos, les noms (Blanca), le rêve, la magie… Rouge… sang ! Ce recueil de 9 nouvelles se résume ainsi.

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Sans laisser d'adresse

Ah ! Quel farceur ce Harlan Coben ! Mais si... Tenez à longueur d’interview, il nous assure que ses romans sont toujours des histoires simples, d’hommes ordinaires, qui, sous l’influence de leur passé, doivent se coltiner d’étranges et dangereux bouleversements. Les tueurs en série indestructibles, ou encore les grands complots internationaux, c’est pas son truc ! Du tout. C’est d’ailleurs pour cela que "Sans Laisser d’Adresse" est une histoire... de grand complot international ! Bon...

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Paradis perdu

Si vous êtes :  croyant, pratiquant et fidèle des règles et dogmes  du genre à considérer qu’on ne parle pas de sexe en public  incapable de jurer et que les jurons vous agressent les oreilles Passez votre chemin ! Surtout n’achetez pas ce livre qui lui est délicieusement politiquement incorrect ! Un pied céleste (pour les ex-élèves des bonnes sœurs, point commun entre l’auteure et moi-même) ! Ah Gudule, non seulement c’est une personnalité mais en plus elle ose ce que d’autres n’envisageraient pas, sauf dans leur plus secret fantasme. Elle assure, comme disent les d’jeuns !

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Pandas dans la brume

Et oui, la bd a le pouvoir de donner la parole aux animaux. Tout comme La Fontaine le faisait dans ses écrits d’une société dont il aimait à se moquer et à critiquer, voici une bd qui donne la parole aux pandas. Vous savez, ces gentilles grosses bébêtes qu’on nous offre en dessin pour faire joli sur nos sacs, sur nos chevets ou sur les murs de nos maisons. Ces gentilles grosses bébêtes qui mangent tranquillement du bambou en nous regardant avec leurs yeux attendrissants.

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Big Crunch

En virtuose du genre, Kurt Steiner nous emmène dans une symphonie qui passe du délire science-fictionnesque, plonge un pied dans le loufoque pour nous envoyer dans une aventure qui n’a de cesse que de nous surprendre. De la vraie SF. Sans prise de tête. Sans de « moi je ». Sans de « m’as-tu-vu ». Juste un auteur qui veut se faire plaisir et de par là même, nous faire plaisir. Une épopée dans toute sa splendeur. Notre univers tel que nous le connaissons est à l’aube de se résorber. Personne n’y peut rien.

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