Rien que pour la vie

La planète Ebtun est en danger. Craël, disciple d’un veilleur est chargé d’une mission : trouver l’arme des ancêtres capables de sauver leur planète.

Les Govons, colonisateurs et destructeurs de planètes attaquent Ebtun.

La première vague d’attaques envoie des spores qui anéantiront la flore.

Bien entendu, par ricochet, la faune puis les Adils seront affectés.

S’ensuit une course-poursuite dans laquelle les Adils et les animaux s’entraideront afin de déjouer cette invasion et cette extermination.

200 pages de bonheur et d’évasion totale. C’est tout ce que j’attendais. Je me suis retrouvé sur Ebtun comme un observateur.

Et j’ai apprécié le spectacle que m’a offert Gabriel Jan.

J’ai juste noté quelques comparaisons avec notre planète que nous détruisons à petit feu.

Mais est-ce voulu de l’auteur ou c’est moi qui invente des comparaisons là où il n’y en a pas ?

Rivière Blanche poursuit sa ligne éditorialiste depuis… Houla ! Au moins… et encore, j’exagère.

Un récit intense sans anicroche majeure si ce n’est quelques mises en page un peu loupées.

Un retour à la ligne intempestif et des espaces au beau milieu de mots.

Sinon, rien à redire. Pas violent pour un rond, fluide et porteur d’un message de paix et d’entraide.

Je le conseille à toutes et tous. Surtout à ceux qui veulent faire lire leurs ados.

Bien entendu, les adultes sont les bienvenus.

Il y en a pour tout le monde.

Rien que pour la vie de Gabriel Jan, Edition Rivière Blanche n°2144, 208 Pages, aout 2016, 18 euros, Photo de couverture : Mike Hoffman, ISBN : 978-1-61227-535-2