ROSENBERG Portia

Jonathan Strange et Mr. Norrell

Il faut approcher de ce texte avec une ombrelle de taffetas gris perle, un gros lapin blanc à moustache et à horloge, et dans un sac à main Liberty, juste deux sachets d’Earl Grey royal Ceylan, cousus à la main par des orphelines taïwanaises aveugles. On permettra tout au plus aux grands nerveux de siffloter quatre ou cinq notes d’un one-step aussi langoureux qu’oublié. Sinon, pour tous, le zen est de rigueur. Comme à chaque fois que l’on s’approche d’un temple vaudou pour participer à un énième sacrifice humain (ouaip, les gros ne crient plus autant qu’avant).

Type: 
S'abonner à RSS - ROSENBERG Portia