Pâtissière de Long Island (La)

Auteur / Scénariste: 
Traducteur: 

1932. Pour l’empêcher de fréquenter l’homme qu’elle aime, le père de Marie décide de l’envoyer chez ses frères. Elle débarque à New York avec deux secrets dans ses bagages : son cœur brisé et la recette ancestrale d’un savoureux gâteau au fromage blanc.

2002. Rona, sa petite nièce en plein revers professionnel et sentimental, vient lui rendre visite. Marie lui raconte son histoire et lui confie à son tour la recette du cheese-cake...

 

Tout d’abord, merci aux éditions J’ai lu pour leur envoi.

 

J’ai adoré ce livre. La lecture en est agréable grâce à son texte fluide et riche en détails. C’est cette richesse qui permet de s’immerger totalement dans les différentes époques (années 30 et 2000) avec une grande facilité.

 

On ne peut pas s’emmêler les pinceaux car l’auteur utilise la 3e personne du singulier pour l’histoire de Marie et la 1re du singulier pour l’histoire de Rona. Ce qui rend la lecture plus facile et agréable le passage d’une époque à l’autre.

 

Pour l’histoire de Marie, on sent que l’auteure s’est bien documentée. L’époque, le poids de traditions familiales, de l’autorité parentale et la foule de détails représentent bien l’esprit de l’époque.

 

Je n’en dirai pas plus de peur de spoiler les lecteurs.

En conclusion, c’est un roman que je recommande à toutes et tous. Il se savoure comme un cheese-cake au coin du feu.

 

La pâtissière de Long Island par Sylvia Lott, traduit par Lorraine Cocquelin, J’ai Lu, 2017, 573 p., n°11851, 978-2-290-140090-7 

Type: 

Ajouter un commentaire