MARCEL Patrick

Privilège de l'épée (Le)

Voici un livre, comme À la pointe de l'épée qu'il prolonge en en reprenant cadre et certains personnages, qu'on classe abusivement dans la « fantasy ». Il s'agit en fait d'un roman « historique », même s'il est placé dans un pays imaginaire, une Angleterre du dix-septième siècle qui aurait connu une révolution « bourgeoise » (en fait aristocratique, ce sont les nobles qui contrôlent le Parlement). On y trouve les techniques de l'époque, les superstitions (en fait moins évoquées que dans le premier roman), mais aucun être surnaturel, aucune magie.

Mythologie viking (La)

De la création du monde à sa disparition inéluctable, les quinze récits qui composent ce livre couvrent de nombreux aspects de la mythologie viking.

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Blues pour Irontown

Il est dommage que les œuvres de John Varley paraissent si rarement, ce qui fait qu’en lisant cette œuvre récente je n’ai plus bien en mémoire les précédentes occurrences de l’univers des « huit mondes » où elle se place, Le canal Ophite, Gens de la Lune, Le système Valentine. Faut-il rappeler que ces « huit mondes » sont les lieux où survit l’humanité après l’invasion de la Terre ?

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Feu et sang

« Au septième jour, une nuée de corbeaux jaillit des tours de Peyredragon pour propager la parole de lord Aegon aux sept couronnes de Westeros. Ils volaient vers les sept rois, vers la citadelle de Villevieille, vers les seigneurs tant petits que grands. Tous apportaient le même message : à compter de ce jour, il n’y aurait plus à Westeros qu’un roi unique.

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À la pointe de l’épée

Si j’avais encore besoin d’une preuve que la fantasy est une branche de la littérature mainstream, ce roman picaresque, plus proche de Walter Scott ou d’Alexandre Dumas que de Tolkien, de Dunsany ou du Howard de Conan, avec une part de critique de la société britannique du dix-huitième siècle à la manière de Jane Austen, et du camouflage d’un pays imaginaire digne du Prisonnier de Zenda, toutes œuvres « reconnues » comme « littéraires », me confirmerait dans ma perception du gouffre entre le bloc « littéraire » mainstream-fantasy et le bloc spéculatif SF-fantastique.  

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Tour du Freux (La)

Peut-on classer en fantasy ce roman d’un monde ancien, habité par des « dieux » animistes plus ou moins grands, qui auraient succédé à d’Anciens Dieux dignes de mondes lovecraftiens ? Où les pouvoirs de ces dieux reposent sur l’énergie que leur fournissent prières et sacrifices et où les dits dieux doivent gérer leur dépense d’énergie et ne peuvent réaliser leur volonté que de la façon la moins coûteuse possible ?  

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Signal d'alerte

Sous-titré « fictions courtes et dérangements », Signal d’alerte est un recueil de vingt-quatre nouvelles écrites par l’auteur britannique Neil Gaiman, et dont les distinctions tiennent à peine sur une page, entre les prix Hugo, Nebula et autres Locus. J’étais donc assez curieux de découvrir son univers. D’emblée, dans une (très) longue préface qui informe aussi des processus créatifs, l’auteur nous livre ses réflexions sur les histoires, la façon dont on les imagine, on les envisage ou on les vit. Une sorte de mise en garde sur ce qui attend le lecteur.

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Art compte (L’)

A défaut de l’entendre, "L’art compte" permet de lire et de regarder Neil Gaiman.

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Signal d’alerte

Il s’agit d’un recueil de nouvelles « courtes et dérangeantes », variées, fantastiques ou de science-fiction. Après une longue introduction qui avertit le lecteur de tous les pièges et de toutes les surprises que contiennent ces textes (il aurait mieux valu les disperser en préface de chaque nouvelle), le livre nous propose donc un certain nombre de variations, souvent à partir d’une idée déjà référencée ailleurs, ou dans une autre œuvre de Gaiman. La dernière nouvelle, en particulier, fait intervenir Ombre, le personnage central d’American Gods.  

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Signal d’alerte

Il y a eu J.R.R. Tolkien et Terry Pratchett. Il y a encore Neil Gaiman, fantastique créateur d’histoire et faiseur de monde. Voici un recueil « de fictions courtes et de dérangements » (sic).

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