Littérature

Titre Date uid de l'auteur
Premier roi du monde : l'épopée de Gilgamesh (Le)

L’épopée de Gilgamesh compte assurément au nombre des textes fondamentaux de l’humanité, au même tire que l’Odyssée ou l’Iliade (qui lui sont postérieurs).

CASSABOIS Jacques
16/05/2008 2
C'est dans la poche

“C’est dans la poche ! est notre héritage, car nous sommes tous les

SADOUL Jacques
14/05/2008 4
SADOUL Jacques 01

Critique ici ! Pour en revenir à cette célèbre Histoire de la science-fiction moderne, pourriez-vous nous parler du travail qu’elle vous a donné, et de l’impact de l’ouvrage en francophonie ? J’ai entendu dire que le formidable boom éditorial de la SF dans les années 1970 était dû en grande partie à votre livre. Célèbre ? Dans un tout petit milieu seulement. Pivot ne voulait pas en parler comme le lui demandait Michel Lancelot car il jugeait le livre sans

SADOUL Jacques
14/05/2008 4
Abarat

En rédigeant « Le Voleur d’Eternité » (1994), Clive Barker – représentant le plus illustre du mouvement « splatterpunk », aux visions sombres et torturées, n’hésitant pas à chanter les louanges des plaisirs sado-masochistes et des mutations corporelles les plus extraordinaires - avait déjà fait la preuve de son aptitude à imaginer des histoires destinées au jeune public. Cette première incursion dans le genre ne déméritait aucunement vis-à-vis des ouvrages du même acabit issus de la production littéraire visant la jeunesse contemporaine.

BARKER Clive
12/05/2008 2
Chambre de sable (La)

Comment parler de ce livre sans en raconter l’histoire ? On peut seulement en dire que c’est l’histoire d’une enfant, dans toute la dureté de ce que peut être sa vie, d’une fille de 11 ans qui vit avec une mère seule, une amie un peu fantasque de sa mère, et ses rêves, et qui se lie d’amitié avec un vieux voisin… Une histoire très dure, comme je croyais jusqu’à présent Gudule seule capable d’en proposer (cf. son volume « Omnibus » chez Bragelonne) : quand les rêves se brisent dans une réalité banale. Un long conte sans fée.

WINTREBERT Joëlle
10/05/2008 18
WINTREBERT Joëlle 01

Qui es-tu ? Qu’est ce que tu peux nous dire sur toi ? Qu’est-ce que tu aimerais qu’on dise sur toi ?

WINTREBERT Joëlle
10/05/2008 14
Maîtres de l'ombre (Les)

Alec De Kerry est un jeune chasseur qui, pour s’être aventuré sur un mauvais chemin, se retrouve en prison après avoir été battu par les gardes du seigneur local. Désespéré, il accueille avec indifférence l’arrivée dans sa cellule d’un barde braillard. Rolan Grisfoille révèle pourtant rapidement avoir plus d’un tour dans son sac et les deux compagnons de cellule parviennent à s’échapper, non sans d’énormes difficultés.

FLEWELLING Lynn
10/05/2008 5
Actifs corporels(Les)

[...] Pour l’instant vous êtes encore majoritaire. Mais dans ce cas, évidemment, plus question d’augmentation de capital. Il vous sera donc impossible de rembourser vos créanciers. Vous serez mis en liquidation, avec interdiction d’exercer votre métier pendant 15 ans. Votre personnalité morale sera sans doute invalidée - plus de passeport ; plus de carte d’identité. Vous ne serez plus qu’une créance douteuse sur les bilans des compagnies d’assurance [...] p 182. Alexandre Guyot, 32 ans. Un argumentaire parfait, une campagne de communication sans pareille.

MOURAD Bernard
08/05/2008 17
Tant que les arbres s'enracineront dans la terre

Ce livre est un ensemble de poésies courtes (rarement plus de 6 lignes). J’ai toujours trouvé stupide de faire des analyses de la poésie qui me semble être une forme d’écriture assez automatique et émotionnelle. La résumer est encore plus ridicule. Gardons ici l’idée d’une poésie "nature" avec ce qu’il faut d’exotisme pour nous rappeler que l’auteur, même exilé en Amérique du Nord, reste "enraciné" dans la terre d’Afrique. Qu’on y sent plus la poussière que la pluie et la chaleur que la neige...

MABANCKOU Alain
06/05/2008 17
Jour fatal

Découvert, dans les années quatre-vingt, avec des thrillers à fortes connotations fantastique, Dean Koontz est peu à peu devenu l’auteur d’une œuvre personnelle, où se mêlent paranoïa, tension, méfiance face à une société déboussolée et étrange fascination pour la chose religieuse. _Ce que l’on sait moins, c’est que Koontz est également un fervent admirateur d’un humour absurde, parfois grotesque, tissé d’un sens inné pour les dialogues mitonnés aux petits oignons. Ce « Jour Fatal » fait partie de cette rare occurrence, des thrillers humoristiques au ton résolument original

KOONTZ Dean
05/05/2008 7

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