Sang-de-lune
Clairement dans la collection « Dystopie », nous sommes dans une de ces « civilisations » dominatrices, faisant preuve de violence envers les femmes ou envers une frange de la population.
Ici, c’est la place de la femme, entre l’animal de bât et le ventre de reproduction, juste une esclave domestique, forcée à se reproduire ou à mourir dans un « cloitre ». On les appelle les « sang-de-lune », les rabaissant à leur fonction reproductrice.