Littérature blanche

Titre Datetrier par ordre décroissant uid de l'auteur
Meurtre à la sauce cajun

Jodi Taylor, vedette de la télévision, charge le détective privé Elvis Cole de retrouver ses véritables parents qu’elle n’a jamais connus. En Louisiane, Elvis découvre que quelqu’un fait chanter non seulement Jodi, mais aussi le shérif local. La première parce que son père était noir, le second... parce qu’il vit actuellement avec la mère (blanche) de Jodi. Le maître-chanteur est un odieux personnage qui rappelle les vendeurs d’esclaves des pires heures du Sud des États-Unis.

CRAIS Robert
08/04/2014 7
100 perles de sagesse

Grande fan d’humour « brèves de comptoir », de pensées absurdes, je me réjouissais de commencer ce livre.

DALAI LAMMERS
11/04/2014 17
Mesure de la dérive (La)

Jacqueline est Africaine, elle ère sur les plages grecques, en provenant indirecte de son pays, le Libéria. Elle squatte des grottes, des maisons en construction, masse des pieds de touristes pour s’offrir à manger. Elle dérive, au bruit des vagues et de la voix de sa mère, pourtant décédée.

MAKSIK Alexander
11/04/2014 17
Enigme de Saint-Olav (L')

1409 à Tallinn, Estonie, un haut responsable de l’Ordre des chevaliers teutoniques est retrouvé décapité, une pièce de monnaie étrangère dans la bouche. Le bailly (équivalent du commissaire de police dans les sociétés médiévales) mène l’enquête, assisté par Melchior, l’apothicaire. Les premières pistes sont troublantes et il faut démontrer une certaine diplomatie pour jouer entre les pouvoirs cléricaux et les droits des citoyens, entre obscurantisme et science.

HARGLA Indrek
11/04/2014 17
N'éteins pas la lumière

Christine Steinmeyer croyait que la missive trouvée le soir de Noël dans sa boîte aux lettres ne lui était pas destinée. Mais l’homme qui l’interpelle en direct à la radio, dans son émission, semble persuadé du contraire... Bientôt, les incidents se multiplient, comme si quelqu’un avait pris le contrôle de son existence. Tout ce qui faisait tenir Christine debout s effondre. Avant que l’horreur fasse irruption.

MINIER Bernard
11/04/2014 7
Liseur du 6h27 (Le)

Premier roman d’un novelliste, Jean-Paul Didierlaurent, voilà un livre un peu ovni. D’abord, son histoire pourrait sembler très banale : un homme solitaire travaille dans une entreprise qui pilonne des livres invendus. Chaque soir, il prend quelques pages qui se sont collées sur les bords de l’engin qu’il nettoie. Chaque matin, il lit ces pages dans le RER, pages volantes et isolées. Ses lectures ont beaucoup de succès au point que deux retraitées prennent le RER rien que pour l’écouter.

DIDIERLAURENT Jean-Paul
12/04/2014 17
Maître bonzaï (Le)

Toute la nuance est dans l’absence de liaison entre « maitre » et « bonzai ». Notre héros n’est pas spécialisé ès bonzaïs, en bonzaïs, il EST un bonzaï. Il a refusé de vivre et de grandir, contraint par son passé qu’il a effacé pour devenir, sans le comprendre, plus un végétal qu’un animal. Mais tout est question d’équilibre comme il le dit lui-même. Et quand le déséquilibre s’incarne dans une jeune fille mi-agressive mi-folle qui débarque dans votre magasin, y met le bordel physiquement, déboule dans votre vie, dans votre tête… tout reste affaire d’équilibre.

BUENO Antoine
12/04/2014 17
Aux anges

Francis Dannemark nous revient avec « Aux anges », un roman toujours édité chez Laffont. Après l’excellent « Histoire d’Alice, qui ne pensait jamais à rien (et de tous ses maris, plus un) », on se demandait ce que Francis Dannemark allait nous concocter comme nouveau roman. Avec bonheur, on avait découvert Alice qui avait eu une vie extraordinaire et improbable.

DANNEMARK Francis
22/04/2014 3
13 jours

Aïe ! encore un livre tue-sommeil, 2 jours pour plus de 500 pages, encore un polar rudement efficace et mené d’une main de maitre, même si dans sa structure, un peu comme « Colombo », on connait le coupable 150 pages avant la fin et le jeu final est surtout de comprendre le « pourquoi » et le « comment » et non le « qui ». Comme je n’ai eu qu’une copie spéciale journalistes (non corrigée, couverture blanche), j’ai seulement découvert le résumé en le cherchant pour la chronique. Il dit tout et il ne dévoile rien, donc je ne vais pas en faire un moi-même, lisez-donc :

GIAMBANCO Valentina
24/04/2014 17
Carnet de Groku (Le)

Non, non, Groku c’est un surnom, celui d’une ado de 16 ans, toute en rondeurs, Manon (déjà les Belges savent qu’un manon est une délicieuse spécialité à base de crème fraîche, d’une épaisse couche de sucre et d’une noix de pécan, oops, j’avoue, je viens d’en manger un !). Manon a été victime comme beaucoup d’ados, d’une mauvaise blague des nouvelles technologies. Entre les photos de ses fesses envoyées par sms, elle est aussi « victime », via son blog où elle exprime son malaise, d’une relation qui l’entraine bien loin vers un contrôle total du poids.

LAROCHE Sophie
26/04/2014 17

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