BD

  145 après JC, Cassio, un des hommes les plus riches de Rome est sauvagement assassiné. Son meurtre n’a jamais été élucidé. Pourtant, près de 2000 ans plus tard, une archéologue découvre des parchemins écrits par Cassio après sa mort. Il y désigne non seulement ses assassins, mais aussi comment ils en sont arrivés à vouloir l’assassiner.

Une vache vole un vaisseau spatiale et fait cocu un extra-terrestre. Une sorte de yéti menace deux cow-boys. La bonne d’un homme sans corps démissionne. Lorsqu’il y a de l’absurde, de la réflexion, du ressenti, de l’étrange et de l’exquis, « La boîte à bulles » est toujours présente. Cet éditeur qui nous avait déjà ravis avec « Dissymétries », nous offre cette fois-ci un panel de bds venues de tous horizons. De l’anglo-saxon et de l’européen, principalement. Il y en a pour tous les goûts.

Y’a pas à chier, Durandur n’en a rien à foutre des interdits. Pour mieux nous faire comprendre qu’on est des abrutis qui se gavent de pubs et d’images, il nous flanque la nausée en nous abreuvant d’images crues et violentes. Prenez ce vieil adepte du scato qui s’amourache d’une femme uniquement pour sa poche de colostomie. Une colostomie ? Vous ne savez pas ce que c’est ! Moi non plus et on s’en fout. On comprend bien à travers les images que les gens s’abreuvent de merdes et que cela ne les dérange pas. Pire, ils en redemandent. Suffit de voir le remake du « loft » à la télé.

Bob Morane fait tranquillement le plein de sa jaguar à la station service. Mais lorsqu’il repart, une étrange lumière bleue l’assaille et il se retrouve en 1937, au cœur des massacres de Nankin par les Japonais. Dans le même temps, ses amis Sophia et Bill Ballantine se retrouvent réciproquement à Pearl Harbour, en 1941, et à Shangai, en 1932. Sans le savoir, ils viennent d’être projetés dans le temps par « la patrouille du temps » afin d’empêcher la guerre du pacifique. Automatiquement, le nom « Bob Morane » ne vous est pas inconnu.