Premier fils (Le)
Henri Vernes, mon maître et ami, avait pour habitude de me dire qu’un bon récit n’a pas besoin de dizaines de pages pour commencer. Être au cœur de l’action, tout de suite, afin d’accrocher le lecteur pour ne plus le lâcher. Je suis persuadé qu’il n’aurait pu que s’entendre avec Ian Manook/Roy Braverman, l’auteur de ce formidable thriller sans temps mort, tant il semble avoir fait sien ce principe. Chaque nouveau roman est meilleur que le précédent, et celui-ci place la barre très haut.